ASIST

surveillance des inondations et sauvegarde des territoires

posté le 22-04-2009 à 23:54:20

" Au mas LOMBARD... Un ECO QUARTIER ????"

                 Dernière ineptie de notre "Omni Premier Magistrat"

                                    "L'illustrissime JPF"



Dernière lubie de notre grand " TIMONIER " local !

Faire du mas Lombard un "ECO QUARTIER".

Hé ! Dame c'est qu'un "ECO QUARTIER" ça peut rapporter !

Mais pour qu'un "ECO QUARTIER" soit compatible avec les exigences environnementales exigées il faut à tout le moins qu'il corresponde avec certaines contraintes écologistes.

C'est bien là le moins que l'on puisse exiger d'un tel projet !!

Est ce a dire qu'au mas de Possac-Chalvidan, c'est a dire au "mas Lombard" nous ne pourrions prétendre obtenir un tel label ?

Un lieu 4 étoiles en quelque sorte !

Que nenni ! Notre environnement est on ne peut plus indiqué pour accueillir un ensemble aussi prestidigieux !!

En effet le site se prête à merveille à un projet d'une telle qualité environnementale que beaucoup de quartiers peuvent à juste titre nous envier !

Jugez plutôt !!

A L'OUEST   (rien de nouveau!)

- la prison !

-Le cimetière du pont de justice !

-Le Crématorium !

-Le Vallat de Riquet qui longe par un canal les anciennes serres municipales et qui va se jeter dans le Valladas qui lui sert d'exutoire et qui longe le lotissement du mas de Possac

AU NORD  (y avait les Corons !)

-Les ateliers SNCF de Nîmes Courbessac, suivis des faisceaux ou stationnent des wagons transportant des matières dangereuses classées "SEVESO" et ou il y a quelques années des incidents se sont produits ( fuites de matières dangereuses, ces risques sont d'ailleurs signalés dans un document municipal  "le DICRIM"

-Un barrage d'une capacité de  450 000 m3 pendu comme une épée de Damoclés sur l'aval, et surtout sur la tête des futurs habitants du mas Lombard, pompeusement rebaptisé pour la circonstance "VIA DOMITIA". ( ça t'a une de ces gueules !).

Exactement là ou Mr Fournier envisage de construire son trés "CHICOS" éco quartier !

Ce qui par voie de conséquence mettra en danger la sécurité des biens et des personnes des habitants de Possac-Chalvidan et du lotissement de l'armoise qui n'en demandaient pas tant, et dont en principe (?) Mr le maire est le garant !

En principe !... En principe seulement ?

A l'EST

Cet exemple , ce modèle " d'ECO QUARTIER" seras bordé sur toute sa longueur par -L'autoroute A9 ( bonjour la polution de l'air et les nuisances sonores induites par l'autostrade !!)

-Un canal parallèle à l'autoroute qui servira de déversoir et d'exutoire au fameux barrage de l'aérodrome, sachant que derrière l'autoroute se trouve le centre de tri des déchets à l'emplacement de l'ancienne usine de biscuits "Balsheim" et juste à côté la zone artisanale de Grézan.

AU SUD.

En bordure immédiare de son trés cher "ECO QUARTIER" et sachant que notre

"bon maire" est un grand amateur d'art et de tableau idyllique et pour lui mettre un peu plus le tableau en valeur nous avons...

-La départementale 999 dite route de Beaucaire complètement saturée aux heures de pointes.

-Le quartier de "Malleroubine"... le bien nommé  !

-Une unité de concassage de déchets du BTP à côté des établissements Philibert.

-A côté la déchetterie de l'avenue Bompard...et... cerise sur le gâteau !!! face à ce fabuleux décor pour ce futur "ECO QUARTIER"  une perle ! que dis je une perle ! un joyau !! face aux services techniques de la ville de Nîmes !!!

-La "MONTAGNE" !! LA MONTAGNE de MERDE de l'ancienne décharge de la route de Beaucaire que les anciens Nîmois connaissent bien et qui date des années soixantes " la décharge  des "SIXTIES" !! et qui par le phénomène du choc des plaques tectoniques n'en finit pas de s'élever , de croitre et d'embellir à telle enseigne que les futurs (heureux?) résidents de ce fabuleux "ECO QUARTIER" n'auront même plus a se propulser sur les pistes de skis des Alpes !!

Et tout cela en zone inondable !

La mer à la montagne !!

Vous en réviez ?

Fournier l'a fait !

Allélullia !!Allélullia !!

Plus heureux tu meurs !!

En automne (Septembre, Octobre en principe c'est bien ! épisode cévenol garanti !)

Ton ponton, ton bateau et pour les moins téméraires ne pas oublié l'indispensable gilet de sauvetage !

Et pour l'hiver... "le must" !! skis au pieds des pistes vous dévalerez les inoubliables pistes noires de la face nord du pic central de la "décharge de la route de Beaucaire".

Le "MAS LOMBARD" ?...un vrai "club MED" !!

Bienvenue au " VILLAGE CLUB" de "PORT LOMBARD".

Le gentil "Chef de village " POPAUL vous y attend avec toute sa bande de "gentils" G-O et de joyeux drilles qui constituent son "équipe municipale"

 

 

 


 
 
posté le 31-03-2009 à 22:48:50

C'est l'histoire d'un "MEC !!" (dixit Coluche)

         (Un peu d'ironie sur le rapport sur le ruissellement urbain commandé

                                                    par

                   Mr le président de la République à Jean Paul Fournier)

                                           ou

                              l'histoire d'un pompier pyromane

                                     un vrai "MEC" quoi!!

Historique d'un rapport d'une mission interministérielle  de 2006  sur le PPCI Nîmois voué aux gémonies et qui par un heureux hasard (?)  sans jeux de mots

                                    " à  REFAIT SURFACE"!!

 

Quand en 2006 une mission interministérielle composée de 6 hauts fonctionnaires d'Etat descendit à Nîmes faire sur ordre du premier Ministre d'alors Monsieur Dominique de Villepin et à la demande de notre "bon" maire un rapport sur le plan de protection des inondations ( feu le PPCI") et que cette mission rendit sa copie, que n'a t'on apprit dans la presse du courroux que cette dernière avait succité de la part de notre bon "bourgmestre"!!

Dame! c'est que le fameux rapport n'était pas la musique que "MOSSIEUR" le maire s'attendait et désirait entendre. Bien au contraire.

Diantre! Ventre bleu! On allait voir ce qu'on allait voir !!

( lire Midi Libre du 28.10.2006)

Comment ? Ces gueux! Ces rigolos, "ces incompétents" qui n'étaient venus à Nîmes que trois jours , pour se "payer des vacances à la campagne"...  pour se goinfrer et se goberger dans les bons restaurants de notre bonne cité des Antonins allaient voir de quel bois se chauffait notre premier magistrat!!

"Ils allaient voir combien il était hargneux !"

Ce rapport !! Il l'a jeté à la poubelle!!

Oh! Certes...pas longtemps!!...le temps que Nicolas Sarkozy devenu entre temps président de la République ne lui intime pour mission, pour conseil, (ou pour ordre?) de rédiger un rapport de prévision et de prévention des inondations liées à des phénomènes localisés de ruissellement urbain.

Ce fameux rapport je me le suis procuré trois jours aprés que notre omni premier magistrat ne le remette à notre omni président de la République.

En vérité ce rapport enfonce les portes ouvertes, mais le plus intéressant c'est qu'il montre les contradictions (doux euphémisme) pour ne pas dire les mensonges éhontés de Mr le maire devenu entre temps sénateur.

En effet Mr Fournier reprend à son compte et sans sourcillier les éléments qu'il avait précédemment" jeter à la poubelle".

En politique et surtout quand on est carriériste les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent et les prennent pour argent comptant, c'est bien connu!!

Mais le plus curieux et surtout le plus "cocasse"dans ce rapport  c'est que parmi les personnes  "auditionnées(?)" dans le cadre de cette mission, on retrouve dans les annexes page 105, je cite:

   

MISSION IGE-CGPC

M.Michel Le Quentrec

M.Jean Louis Ravard

M.Pierre Verdaux

  et pour la bonne bouche M. Xavier Martin.

 

Xavier Martin ! vous savez ! c'est le monsieur qui pilotait la mission interministérielle, l'auteur avec les 5 autres hauts fonctionnaires d'Etat qui a rendu son rapport en 2006 et que notre "bon" maire avait "soit disant" jeté à la poubelle mais qu'il a entre temps semble t'il  retiré des immondices !

 

Finalement à bien y regarder, ce fameux rapport de 2006 ne devait pas être si mauvais puisque monsieur Fournier s'en est largement inspiré, ainsi que pas mal de ses collaborateurs, ou membres de son cabinet qui ont contribué à l'élaboration du "fameux" et trés "attendu" (?) rapport de mission d'icelui.

 

En effet on remarquera à la lecture de cette " sainte bible" que les personnes qui ont apporté leurs contributions sont soit des gens du cabinet du maire, soit ceux des services de l'agglo, ou des services techniques de la ville, voire des assureurs bien en cour, bref des gens tout à fait impartiaux !

 

Il est vrai que ces gens là sont d'une grande compétence, qui font référence et qui sont unanimement reconnus dans les milieux hydrologiques !!

 

Pas comme  ces péquins de hauts fonctionnaires d'Etat !!

 

AINSI VA LA CRUCHE A L'EAU !! .....A NIMES.

 

 

 

 


 
 
posté le 31-03-2009 à 20:59:00

près de 100.000 logements supplémentaires ont été construits en terrain inondable entre 1999 et 2006 (LOCALTIS)

Entre 1999 et 2006, 100.000 logements ont été construits dans les zones inondables de 424 communes à risques. Ces nouvelles implantations ont surtout contribué à densifier des territoires déjà urbanisés. Dans la majorité des cas, les zones d'expansion des crues ont été préservées.

 Selon une enquête que vient de publier le service de l'observation et des statistiques de l'environnement (SOeS, ex-Ifen) du ministère de l'Ecologie,près de 100.000 logements supplémentaires ont été construits en terrain inondable entre 1999 et 2006. Ce chiffre correspond à une hausse de 7% sur sept ans. En dehors de ces secteus, l'augmentation du nombre de logements a été de 6%, avec 430.000 logements supplémentaires.
Si 424 communes françaises de plus de 10.000 habitants sont soumises à un risque majeur d'inondation, cette forte croissance de la construction a surtout concerné une cinquantaine de communes. L'étude du SOeS  distingue en effet quatre groupes de communes selon le rythme de construction en zones inondables.

 

Quatre familles de communes

Dans un premier groupe de 31 communes, le nombre de logements exposés a diminué de 7%, ce qui correspond à 3.600 logements. La baisse de la construction dans les zones submersibles (-4,4%) a été compensée par une hausse dans les autres lieux (7,2%). Il s'agit en général de communes de taille assez importante (la moitié compte plus de 12.500 logements) où les superficies inondables sont relativement peu étendues et moins densément construites que les autres espaces.
Un deuxième groupe, nettement plus nombreux (190 communes), a connu une relative stagnation du nombre de logements exposés (2.200 logements supplémentaires). Le rythme de construction en terrain inondable a été de 2,9% contre 6,8% en dehors. Ce sont pour l'essentiel des communes plus petites, en nombre de logements, où les surfaces inondables sont peu étendues et de très faible densité.
Un troisième groupe, concentrant un tiers des communes à risques (147 précisément), a enregistré une augmentation de la construction aussi importante en zone inondable qu'en dehors (7%, soit 27.000 logements supplémentaires). A peine plus grandes que les communes du groupe 2, elles se différencient par des superficies inondables plus conséquentes et aussi densément construites que les autres terrains.
Dans un quatrième groupe, totalisant 56 communes, l'augmentation a été très forte avec 74.000 logements exposés supplémentaires et un taux de croissance nettement plus élevé au sein des zones submersibles qu'en dehors (8,2% contre 4,4%). Ce sont des communes comptant déjà un grand nombre de logements (plus de 26.500 dans 50% d'entre elles), avec des secteurs inondables plus étendus et très densément construits.

 

Une extension urbaine contenue

"Dans les communes des groupes 3 et 4, les logements en zones inondables se multiplient d'autant plus qu'ils étaient déjà nombreux en 1999", note le SOeS qui souligne que la pression démographique s'est répercutée par un accroissement similaire du nombre de logements dans les parcelles exposées et non-exposées. Signe encourageant, malgré tout : le nombre de communes couvertes par un plan de prévention du risque inondation (PPRI) est passé de 13% en 1999 à 61% fin 2007. En interdisant notamment la construction de logements sur les terrains exposés à des aléas très dangereux ou sur des terrains non-urbanisés qui constituent des zones d'expansion des crues, les PPRI permettent de limiter l'extension urbaine en zones inondables. Globalement, au cours de la période étudiée, les surfaces urbaines en zones inondables n'ont crû que de 3 km2 (+0,7%), soit un rythme nettement moindre que celui observé pour les logements.
L'étude du SOeS souligne aussi de fortes disparités entre départements. Dans l'Hérault et en Ille-et-Vilaine, la croissance des logements dans les parcelles inondables des grandes communes étudiées a été d'environ 20% en sept ans. Dans l'Eure, la Seine-et-Marne et la Meurthe-et-Moselle, ce taux a été un peu moins élevé (entre 11 et 16%). Dans les Alpes-Maritimes, le Var et le Val-de-Marne, le rythme moyen a été de 5 à 8%. A l'opposé, des départements comme l'Isère, le Tarn-et-Garonne, les Pyrénées-Orientales et les Yvelines ont connu un taux d'accroissement moindre dans les territoires exposés.

 

Anne Lenormand

 


 
 
posté le 31-03-2009 à 20:32:09

Une bonne partie des prétendus "éco-quartiers" ne suit pas une véritable démarche de développement durable (Le Monde)

Catherine Charlot-Valdieu, présidente du Réseau européen pour un développement urbain durable (Suden)

 

Une bonne partie des prétendus "éco-quartiers", qui se veulent respectueux de l'environnement, ne suit pas une véritable démarche de développement durable. C'est la conviction de Catherine Charlot-Valdieu, présidente du Réseau européen pour un développement urbain durable (Suden), qui vient de publier, avec Philippe Outrequin, L'Urbanisme durable (éd. Le Moniteur, 295 pages, 59 euros). A l'heure où les projets se multiplient dans l'Hexagone pour combler le retard français, ce guide méthodologique et critique se nourrit de nombreux exemples étrangers, de Vancouver à Malmö, de Barcelone à Stockholm et de Bristol à Fribourg.

 

Que manque-t-il à certains projets pour mériter le titre d'éco-quartiers ?

En France, plus de cent vingt projets en cours d'étude ou de réalisation se proclament éco-quartiers. Il manque une enquête pour distinguer le vrai du faux. Les maires abusent de cette appellation : il y a des subventions à la clé, c'est politiquement payant et ça attire l'attention des médias. Mais il ne suffit pas de faire un lotissement de maisons zéro énergie pour créer un éco-quartier.

Quand ils veulent aménager "vert", les élus acceptent des surcoûts allant jusqu'à 20 % pour obtenir des labels type "bâtiment basse consommation", qui les exonèrent de réfléchir à la démarche de conception urbaine, pourtant plus stratégique que la performance énergétique des édifices. Les bâtiments expérimentaux sont des vitrines, qui peuvent servir à tester des techniques, mais qui ne règlent pas la question de la ville durable. Un quartier, ça a une certaine taille, ça doit s'intégrer dans le tissu de la ville et, en plus d'y habiter, on y travaille, on y fait ses courses, on y a des loisirs...

 

Au-delà des économies d'énergie, les éco-quartiers mettent en avant les espaces verts, le recyclage des déchets, les transports en commun... Ça ne suffit pas ?

Il y a une ambiguïté dans le terme même d'éco-quartier par rapport à celui de quartier durable. Cela conduit, en France, et dans d'autres pays comme la Chine, à afficher des ambitions avant tout liées à l'environnement, alors que le développement durable doit s'appuyer sur deux autres piliers tout aussi importants : l'économie et le social. Pour créer un véritable éco-quartier, il faut une démarche de projet reposant sur un diagnostic et des objectifs portant sur les trois piliers. Mais l'économie et le social ne se règlent pas à l'échelle du quartier. C'est pourquoi un éco-quartier ne peut marcher que dans une stratégie à l'échelle de la ville.

 

Vous défendez le principe de la concertation dans l'élaboration des éco-quartiers. Pourquoi est-ce important ?

La concertation est nécessaire, mais pas telle qu'elle est menée le plus souvent, c'est-à-dire sous forme d'information ou de consultation des habitants. La démarche de projet implique un processus d'amélioration continue, en partenariat avec tous les acteurs locaux : commerçants, riverains, entreprises... C'est par la concertation que le projet d'éco-quartier, avec ses innovations techniques, peut servir à améliorer les compétences et la compétitivité des entreprises locales. Si on utilise des panneaux solaires allemands, des éoliennes danoises et des isolants chinois, où est l'intérêt pour l'économie de la région ? C'est aussi comme cela qu'on peut éviter que les éco-quartiers deviennent des ghettos de riches bâtis à côté de zones d'habitat populaire dégradé. L'éco-quartier doit prendre en compte ce qui se passe alentour.

 

Les éco-quartiers sont toujours des constructions neuves. Est-ce inévitable ?

Les élus aiment inaugurer de belles vitrines, c'est pourquoi ils privilégient le neuf. Or l'enjeu majeur, c'est la réhabilitation de la ville existante. De ce point de vue, l'Agence nationale de rénovation urbaine (ANRU) a été un ratage complet, alors qu'elle a été mise en place par le même Jean-Louis Borloo qui allait ensuite animer le Grenelle de l'environnement ! On aurait pu décider que tous les projets ANRU devaient devenir des éco-quartiers. C'est ce qu'a réussi l'équivalent italien de l'ANRU à Turin et à Milan.

 

Le ministère de l'écologie a lancé un concours pour distinguer les meilleurs projets d'éco-quartiers et la présidence française de l'Union européenne a relancé, en novembre 2008, l'idée d'un cadre de référence sur la ville durable. La France rattrape-t-elle son retard en la matière ?

Cela fait des années que l'Europe parle de ce cadre de référence. Quand ça arrange un gouvernement, on relance la machine : c'est ce qu'a fait Nicolas Sarkozy. Mais quand Paris dit à l'Europe qu'il faut créer et encadrer les villes durables, ça fait bien rire des pays comme les Pays-Bas, qui ont intégré ces problématiques depuis longtemps, on le voit de manière exemplaire à Utrecht ou à Breda. En matière d'éco-quartiers, la France est la dernière de la classe.

 

Propos recueillis par Grégoire Allix

 

 

 


 
 
posté le 27-03-2009 à 21:57:42

les tribulations d'un "petit" adjoint mesquin !!

                     COURAGE!! FUYONS!

Le comité de quartier de "Possac-Chalvidan" a été dissout le  30 Janvier 2009 lors de son assemblée générale extaordinaire.

Le Président que je fut, au bout de 11 ans de bons et loyaux services a souhaité ne plus se représenté aprés 3 mandats plus qu'honorables en terme de résultats positifs sur l'ensemble du quartier et ce... sur 2 municipalités diamétralements opposées : celle du communiste Alain Clary et celle de l'ump Jean Paul Fournier.

En tant que président du comité de quartier de Possac -Chalvidan je siégeais de droit au " conseil de quartier Chemin bas d'Avignon"

Le comité étant dissous, je n'y siège donc plus " de facto".

Normal ! Il n'y a là rien à redire.

Mais le cocasse dans l'histoire? C'est qu'au dernier conseil de quartier du 2 Mars dernier et auquel je n'assistais pas, et pour cause ! L'inénarrable Mr Henry Douais  (himself !) éventuellement adjoint au maire  de son état (?) a pris soin d'annoncer qu'il proposerait lors d'un prochain conseil de quartier de présenter le projet d'urbanisation du mas Lombard ! Et contre lequel "FEU" le comité de quartier de Possac-Chalvidan a féraillé pendant plus de 10 ans.

Chose a laquelle il ne s'est jamais risqué quand je siégeais dans ce fameux conseil de quartier !!

Dame c'est que ce dossier sentait la poudre !

Mais qu'il ne s'y trompe pas...Il la sent toujours !

Mais au delà de ces considérations on devine chez ce "Monsieur" une façon de faire, une posture ! Une attitude ! Une noblesse ! Une franchise ! Une audace !

Une témérité ! Un courage qui force l'admiration !!

Apprenant cela les bras m'en sont tombés je ne pensais pas ce "monsieur"  Douais (avec un "m" minuscule ) aussi "tranche montagne"!!

Attendre et profité piteusement que je ne siège plus au conseil de quartier pour proposer une telle présentation, voila qui ne manque ni de sel ni d'un certain... courage et tout cela masquer  derrière un si gentil (?) sourire.

Allez ! continuez comme cela mon cher "Isnogood" et vous devriez(?) pouvoir rester dans les bonnes grâces du "GRAND CALIFE"...aux dernières nouvelles il parait que vous en auriez bien besoin!

Mais un petit bémol tout de même et au cas ou cela vous aurez échappé , pour votre gouverne et celle de vos affidés sachez que l'association "ASIST" que j'ai l'honneur de présidé veille toujours au grain, et cela même si elle ne fait pas partie des "conseils de quartiers"

Allez !"RIRI" encore un petit effort ! Courage ! Courage...et ... fuyons ! fwwww !!!

                                 

 


Commentaires

 

1. capone  le 19-11-2009 à 21:52:47


dommage;que les gens veulent tout avoir
sans connaître leurs droit et les lois
Impossible de confondre entre, Comité de cartiers,,et syndicat des copropriétaires du mas de chalvidant
<oui> et cela depuis l'achat de la parcelle. lorsque l'on signe on dois bien lire ce que l'ont fais !!!!!!!!

 
 
 
 

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