ASIST

surveillance des inondations et sauvegarde des territoires

posté le 26-04-2010 à 09:04:26

Indécrotable JPF !!!

 

 

 

      3 octobre 1988 quartier Hoche Sernam au plus fort de la crue,

                et où un nouveau quartier doit voir le jour

 Les cadereaux d'Uzés et celui du chemin des limites ont repris leur droit

 

               ----------------------------------------------------

 

 

  Le MIDI LIBRE du 18 avril 2010 dans sa "petite semaine" nous apprend qu'une

 

  prise de "becs" ou plus exactement "un échange de piques" aurait eu lieu

 

  entre Monsieur le Préfet du Gard et notre "bétonneur" Sénateur Maire

 

  Jean Paul Fournier lors d'une réunion du "COBATY", gens inintéressés  s'il en est,

 

   au sujet de la "frilosité" du représentant de l'Etat en matière de délivrance de

 

  permis de construire en zone inondable !

 

  Notre Empereur "Septime FOURNIER 1er " n'apprécierait que très modérément

 

  les atermoiements du représentant de l'Etat quant à sa réticence à délivrer

 

  certains permis de construire en zone inondable !!

 

 L'opiniâtreté que notre premier magistrat emploie à bétonner notre ville est pour

 

 le moins surprenante dans une ville qui a souffert les affres des inondations du

 

 3 octobre 1988 où on dénombra 11 morts.

 

 A cette époque ce monsieur était adjoint à l'urbanisme, et de ce fait il devrait se

 

 montrer beaucoup plus prudent sinon circonspect.

 

 Mais non, à Nîmes on délivre les permis de construire à tour de bras comme si

 

 rien ne s'était passé ! On croit rêver !

 

 En effet, lors de la dernière réunion publique du 15 avril 2010 à la Gazelle j'ai posé

 

 benoitement une question.

 

 / 1 ière QUESTION

 

 Quand le "PPRI" de Nîmes sera-t-il terminé ?

 

 L'amiral Filippi m'a répondu de façon évasive.

 

 "Pas avant deux ans !"

 

 /2 ième QUESTION

 

 Comment se fait-il qu'à la route de Beaucaire, au moment où s'édifie un

 

 important ensemble immobilier dit " La manade" de 223 logements  sis aux

 

 anciennes caves à vin, où pour les plus anciens aux "ex " établissements Bret et

 

 Bauquiers, on surcreuse des parkings souterrains à niveau moins 2, alors que la

 

 mairie vient de placer des repères de  crues sous le pont de la  route de

 

 Beaucaire distant de 50 mètres de ces immeubles en devenir.

 

(Sous ce pont de la route de Beaucaire, à chaque grosse pluie le cadereau

 d'Uzès inonde ce quartier sous plus d'un mètre d'eau, et c'est là que l'on

  construit des immeubles avec garage en sous sol à niveau moins 2 !!!)

 

  On hallucine ! mais la réponse qui m'a été donnée vaut son pesant d'or !

 

  Réponse d'un technicien de la mairie.

 

  "Du moment que le "PPRI" n'est pas défini par le Préfet, rien ne nous l'interdit !"

 

  fermez le ban !

 

 Donc si l'on en croit ce monsieur, "s'il n'y a pas de "PPRI" approuvé par l'Etat

 

 il n'y a donc pas d'obstacle pour faire n'importe quoi !"

 

 Charmante perspective !

 

 Dans ce cas, je me vois donc dans l'obligation de rafraichir la mémoire de

 

 monsieur le maire et de son innénarable adjoint "à l'urbanisme" par une petite

 

 "piqûre de rappel"..

 

  Le 3 octobre 1988, un couple de pauvres retraités a trouvé la mort, "noyés" au

 

 boulevard Jean Jaurés, dans l'immeuble " les Champs Elysées", dans un parking

 

 souterrain, pour avoir tenté de récupérer les souvenirs de leur fils défunt !!!

 

 Les Nîmois, bien au fait de la problématique des inondations, réclament à corps

 

 et à cris, depuis des années, l'approbation d'un "PPRI" pour notre ville qui aurait

 

 dû être l'une des premières à en bénéficier après 88.

 

 Va-t-on  pendant encore longtemps dans cette bonne ville de Nîmes

 


 délivrer  des permis de noyer... les voitures ???

 

                                 -----------------------

  

 

                   Villanueva Serge Président de l'association "ASIST

                                                         ET

                                     Administrateur à l'AFPCN

          (association française de prévention des catastrophes naturelles)

 

 

 

          3 octobre 1988 le quartier hoche sernam pendant la décrue

         

                                sans commentaires...

 

 

 


Commentaires

 

1. PATCH  le 26-04-2010 à 17:57:45

Il faut également savoir qu'il n'est pas sur et certain que les travaux en intra-muros du plan "CADEREAU" qui sont en cours actuellement pour palier aux inondations de 2005 prennent en compte le recalibrage de l'avenue G. POMPIDOU. L'entonnoir du côté ouest de la ville risque d'arroser Nîmes encore pendant quelques années!! On a pas fini de boire....de l'eau

 
 
 
posté le 26-04-2010 à 08:58:39

PINOCCHIO OEUVRE EN MAIRIE DE NIMES

 

 Dans une interview du 21 avril 2010 dans le journal la Marseillaise "l'illustrissime"

 

 amiral Filippi énonce une série de mensonges que j'aurais énoncé lors de la

 

 réunion publique tenue le 15 avril 2010 au comité de quartier de la Gazelle sur les

 

 travaux  concernant le cadereau de la route d'Uzès.

 

 Réunion assez confidentielle s'il en est, tant il est vrai que ce "brave" monsieur

 

 Filippi n'attire, ni ne galvanise les foules  !!

 

 Son plumage n'égalant pas son ramage !!

 

 Hormis l'élu en question, 1 technicien de BRL et quelques uns des services

 

 municipaux, 3 journalistes, un ou deux observateurs politiques , nous étions en

 

 tout et pour tout "3" citoyens lambda !! 

 

 Ce n'était vraiment pas le "grand soir !! comme on dit au "PC" !!

 

 " La fé sâouvâ l'âma"  (La foi ou la passion sauve l'âme)  comme on dit  en

 

   provençal !!

  

 Mais à sa décharge il faut dire que l'amiral n'étant pas une "tête d'affiche"

 

 comme on dit dans le show -biz, il n'avait pas réussi ce soir là a drainer la foule

 

  des grands jours !!

 

  Peut me chaud qu'il ne rameute pas les foules !

 

 On a le charisme qu'on peut !  (et  en l'occurence il peut ...peu ! vraiment peu !)

 

 Mais se voir allonger le nez d'aussi grossière façon tel "Pinocchio" dépasse

 

 l'entendement.

 

 Mais pour que les choses soit bien claires entre le "moussaillon " et moi, voici la

 

 vérité lors de cette réunion !

 

 Mr Filippi cette fois regardez moi bien droit  dans les yeux,là !!!

 

 

1 er /

 Dans l'interview de la Marseillaise du 18 avril 2010 je n'ai jamais déclaré

 

  qu'il était tombé sur Nîmes en 2005 le 10 ième de ce qu'il était tombé en 2005 !

 

 Lors de la "fameuse " réunion publique où vous avez obtenu un si franc succès

 

  ( 3 personnes !)  je vous ai dit, et plusieurs personnes peuvent en

 

  témoigner (Madame Quiot, Mr Giovanni Garrelli, Mr Bernard Moulin, les

 

  journalistes présents et tout vos "accompagnateurs suiveurs") que le 6  

 

  septembre 2005, il est tombé sur la station météo de Courbessac   

 

  170 m/m , et 220m/m le 8 septembre , ce qui comparé à vos "élucubrations"

 

  dans le journal "la Marseillaise  ne représente pas le 10 ième !  Vous en

 

  conviendrez ! 

 

  Vous me faites tenir des propos mensongers et c'est pas  bien joli, ni poli çà !

 

  Je vous ai même dit que j'avais en ma possession les bulletins météo fournis par

 

 la station météo de Nîmes -Courbessac, que je m'étais procuré venus

 

 d'Aix en Provence moyennant paiement ( bien entendu).

 

 Bulletins que bien évidemment je tiens à votre disposition de façon tout à fait

 

 "gracieuse "et "désintéressée", ainsi que d'autres documents qui pourraient

 

  éventuellement vous  servir pour le bien de la ville et de ses habitants  si vous

 

  le souhaitez.

 

  2 eme/ 

  Je vous trouve un peu piteux car après cette réunion vous êtes venu

 

  me dire en "aparté" (on n'est jamais trop prudent !) que vous étiez entièrement

 

  "d'accord " avec moi sur la façon dont on délivrait  à Nîmes et avec une certaine

 

 complaisance les permis de construire  dans les zones inondables !

 

 Vous épanchant  même sur le cas particulier (entres autres) de l'ensemble

 

 immobilier dit "la manade"  (223  logements sous le pont de la rue de Beaucaire

 

 où l'on surcreuse  allègrement des parkings à niveau moins 2 !!  

 

 Vous m'avez dit ce soir là que vous étiez contre cette façon de faire et que vous

 

 étiez pour des parkings en étages !

 

 Diantre que ne tapez vous du poing sur la table pour affirmé vos convictions et

 

 faire valoir vos positions !

 

 A votre âge et vu votre statut est il encore besoin de "courbé" l'échine ?

 

 Les contorsions, c'est pas bon pour la santé !

 

 Que penserait s'il était au courant de vos "états d'âmes  votre "mentor" JPF et

 

 son adjoint délégué au béton et à "l'urbanisme" ? 

 

 C'est pas beau de mentir ! C'est pas beau de ne pas avoir le courage de ses

 

 opinions et de ses convictions !

 

 Cher monsieur malgré tout  le respect que j'ai eu  pour vous et votre

 

 ancien "grade"  d'Amiral, vous me décevez beaucoup !!

 

 Au bal des "faux derchs" vous n'êtes pas prêt de faire "tapisserie" !! 

 

 Et je crains  que  comme ce regretté "OUVRARD" qui  chantait :

 

               " J'ai le foie qui est malade , j'ai la râte qui se dilate"

 

                             vous ne finissiez comme lui ... !!

 

                                  "Comique troupier" !!

 

                          L'humour et la bonne humeur en moins !

 

                              Allez ! sans rancune !!

 

                ---------------------------------------------

 

               Villanueva Serge Président de l'association"ASIST"

 

                                                     et   

 

                                      Administrateur à l"Afpcn"  

  

        (association française de prévention des catastrophes naturelles )     

 

    

 


 
 
posté le 23-04-2010 à 14:01:19

CHICHE Monsieur LE PRESIDENT !!





16/03/2010 18:46

  Nicolas Sarkozy, déterminé 

       après la tempête



Entre les deux tours, le chef de l’État avait choisi de se rendre hier au chevet des deux départements meurtris par la tempête Xynthia le mois dernier. Il a annoncé que les habitants des zones à risque devront reconstruire ailleurs

Ce n’est plus une maison, c’est un trou. Ouvert au vent après avoir été creusé par la mer. Ni portes, ni fenêtres. Des murs écaillés et souillés. Sur un vieux bahut, seul meuble encore debout, deux photos de famille encadrées tentent de sécher. Dehors, les meubles enchevêtrés sèchent aussi, depuis cette nuit de tempête qui a tout emporté. Les deux habitants, un couple de retraités, ont été surpris dans leur sommeil à 3 heures du matin. L’eau a pulvérisé la baie vitrée, envahi la maison et projeté l’ancien menuisier et son épouse par une fenêtre du rez-de-chaussée, jusque dans l’arrière-cour, où la vague, enfin, s’est calmée.

C’est ici, dans ce village de Charron (Charente-Maritime), l’un des plus éprouvés par la tempête Xynthia, que Nicolas Sarkozy avait choisi de venir mardi 15 mars pour faire le point sur la situation des deux « départements martyrs » (Vendée et Charente-Maritime) et dire à leurs habitants que «l’État ne les abandonnerait pas». « Ma présence ici, avec les ministres, c’est pour bien montrer qu’il y aura un suivi concret après le drame qu’ils ont vécu, a expliqué le président de la République. Les gens ont le sentiment qu’on les oublie. Nous voulons mettre en place de nouvelles façons de gérer une catastrophe, tous ensemble. »



Ces gens sont passés à deux doigts de la mort. » Le chef de l’État prend son temps.

 

Mais je n’accepterai pas de digues immobilières.

Les digues ne seront pas érigées pour lotir des terrains dangereux.

Dans les zones à risque, on ne reconstruira pas. »

Un peu plus tôt dans la matinée, Nicolas Sarkozy a présidé une réunion de travail à la préfecture de La Rochelle, avec les services de l’État et les élus locaux. Puis il s’est exprimé à La Roche-sur-Yon devant les « acteurs de la chaîne de secours et de solidarité » mobilisés à la suite de la tempête : « L’État ne laissera pas tomber les sinistrés», a-t-il martelé, en rendant hommage au « courage » des sauveteurs et des habitants.

"Le résultat d’une cascade de décisions litigieuses ou contraires au bon sens"

Le président de la République, qui s’est vu remettre un pré-rapport sur les causes du drame, a indiqué que la catastrophe du 28 février n’était pas seulement le produit d’événements climatiques.

                              Mais aussi

 

« le résultat d’une cascade de décisions litigieuses ou contraires au bon sens, de négligences, de prescriptions non respectées, d’expertises négligées. »

Il a annoncé que les sinistres de moins de 2 000 € seront indemnisés sans expertise, dans des délais « inférieurs à un mois ». Les particuliers touchés pourront, en outre, demander que leur soient reversées leurs taxes d’habitation et foncière. Quant aux habitants des zones à risque, ils devront reconstruire ailleurs.

 

Une cartographie destinée à identifier les « sites à fort aléa » sera établie.

Et les assureurs devront indemniser les sinistrés, même lorsqu’ils reconstruisent hors du site où se trouve leur maison.

Nicolas Sarkozy a également annoncé une batterie d’aides à destination des agriculteurs.

 

 Dans trois ans, toutes les communes situées dans des zones à risque devront être couvertes par un plan de prévention, a-t-il ajouté.

 

« Après le 28 février 2010, rien ne peut plus être comme avant en matière de prévention des catastrophes naturelles », a martelé le chef de l’État, 

 

          « L’État tiendra sa parole »,

                  a-t-il promis.

            ---------------------------------------------------

 

                 chiche ! monsieur le Président !

 

 


 
 
posté le 20-04-2010 à 20:02:00

article du journal "LA CROIX" du 19 avril 2010

En 1988, un déluge provoque la mort de neuf personnes à Nîmes



Après le passage de la tempête Xynthia, l’heure est à la prévention d’une nouvelle catastrophe dans les départements concernés. Pendant deux semaines, La Croix revient sur de précédents drames en France et sur ce qui a été fait depuis lors (2/11)

Dans la nuit du 2 au 3 octobre 1988, un véritable déluge s’abat sur Nîmes (Gard) durant plus de sept heures. Les « cadereaux », de petits ruisseaux asséchés, font converger les eaux de ruissellement des collines vers la ville, devenant de vrais torrents, et inondent les rues.

Neuf personnes perdent la vie dans les eaux. Au total, 2 000 logements seront sinistrés, pour environ 600 millions d’euros de dégâts. « La psychose de cet événement réapparaît dès qu’il y a de grosses pluies », témoigne Jean-Paul Fournier, le maire de Nîmes.

Pour éviter une nouvelle catastrophe, la mairie investit chaque année entre 12 et 15 millions d’euros dans une politique de grands travaux, dont le « programme cadereaux ». « Cela permet de retenir l’eau dans les collines, pour qu’elle s’écoule plus doucement vers les habitations, et ainsi d’éviter les trombes », détaille Jean-Paul Fournier.

Interdiction de bâtir dans les zones dangereuses 

Treize kilomètres de cadereaux ont déjà été aménagés. Et 22 bassins de rétention ainsi qu’un bassin de stockage ont été construits, pour une capacité d’un million de mètres cubes. « Durant les pluies de 2002 ou 2004, on a bien vu la différence », constate le maire.

Tout en précisant qu’en cas de pluies torrentielles comme en 1988, tous ces aménagements n’éviteront pas aux Nîmois d’avoir les pieds dans l’eau. À présent, ce sont des travaux dans le centre-ville qui doivent commencer, afin que l’eau puisse traverser la commune par de larges tuyaux souterrains.

Par ailleurs, depuis 1988, la mairie a interdit que l’on construise de nouveaux bâtiments sur les zones les plus dangereuses, dans le lit des cadereaux. Dans les secteurs sensibles, les constructions ont continué, mais avec des aménagements particuliers. Une école primaire a été réalisée sur pilotis par exemple. L’État, quant à lui, doit adopter un plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) d’ici à la fin 2010, pour limiter l’extension de la ville vers les zones où le risque est le plus fort.

 

                               note de la rédaction d'"asist": 


 A Nîmes où l'on veut continuer à bâtir 1000 logements coincés entre un canal

 d'évacuation du barrage de l'aérodrome et le lit des cadereaux du valladas et du

 vallat de riquet qui traversent la plaine du mas Lombard est le pire 

 exemple de ce qu'il ne faut plus faire !!

Principe de précaution contre pression démographique

Malgré ces précautions, certains projets immobiliers sont contestés, comme celui du Mas-Lombard. Serge Villanueva, président de l’association de surveillance des inondations et de sauvegarde des territoires (Asist), lutte depuis 1999 pour éviter la construction de 1 000 logements sur ce terrain, largement inondé en 1988.

« La mairie a érigé un barrage exprès pour pouvoir lotir, explique-t-il. Mais je suis plus que sceptique. » Cette zone a été réduite à 40 hectares alors que 100 hectares étaient prévus. Reste que le maire met dans la balance la pression démographique de la ville. « Je suis obligé de construire de 800 à 1 000 habitations par an. Où est-ce que je les mets ? » Du coup, la ville cherche à s’étendre vers le nord, sur les hauteurs. Un projet immobilier de 25 000 logements est en cours.
Eve CHALMANDRIER

 


Commentaires

 

1. raymen  le 24-04-2010 à 13:58:58

là içi meme et le principe de précaution ? cher au président ?notre élu prend des risques car il sera coupable et responsable tout SEUL : indefendable..monsieur Villanueva Serge qui n a rien a gagner ni aucun intéret dans cette zone se bat comme personne contre ce projet tres dangereux ! il mérite notre respect ! chapeau bas monsieur et merçi pour votre humanisme combatant ++

 
 
 
posté le 18-04-2010 à 21:21:16

LES DIGUES...? Une illusion de sécurité !!

 

 

brèche dans la digue du barrage de l'aérodrome

pendant sa construction aprés l'orage de septembre 2002 

 

----------------------------------------

 

 

           EDITORIAL de Mr Eric Doligé

 

     Sénateur, Président du conseil général du Loiret

     Président du "CEPRI"   (centre européen de prévention du risque inondation)


 

 

Xynthia a des allures de Katrina et la côte vendéenne des allures de Nouvelle-Orléans.

 Cela doit nous rappeler le risque qui existe en France pour plusieurs

 millions de personnes qui se croient à l’abri derrière des digues, le long de

nos rivières, de nos fleuves et de nos côtes.

                       Xynthia nous interpelle :

 

 Comment notre aménagement du territoire peut-il être compatible avec 

 les inondations, y compris lorsque celles-ci proviennent d’une rupture de

 digues ?

 C’est cette question des digues et de la vulnérabilité des personnes, des 

 biens et des territoires en zone inondable, que j’ai inscrite dans les 

  priorités du CEPRI, 

  après la réunion de mars 2007 au Sénat où nous tirions les enseignements de 

  l’inondation de la Nouvelle Orléans.

 Le CEPRI a progressé sur ces questions et accompagné des collectivités

 territoriales sur des actions pilotes. Il est temps de se mobiliser davantage :

 venez nous rejoindre pour adapter votre territoire autant à l’inondation qu’au

 changement climatique !

                   Oui, anticiper est possible, urgent et vital !



Eric Doligé, Sénateur, Président du Conseil général du Loiret, Président du CEPRI

 

                               -----------------------------------------

 

     NDLR :

          De sénateur à sénateur on aimerait savoir si le sénateur Nîmois

    Jean Paul Fournier est en accord avec son collègue UMP du Loiret

     sur le bien fondé de lotir 1000 logements derriére les digues comme celui ci

    s'apprète à le faire  pour le mas Lombars situé en aval immédiat des digues du

    barrage de l'aérodrome !

    Il serait sage que notre édile local se rapproche de son collègue Sénateur

    Eric Doligé " UMP " comme lui et adhère au " CEPRI " dont ce dernier en est

    le Président.

    Il n'y a aucune honte a reconnaitre ses erreurs et à les corriger quand il en est

    encore temps ...!

    A bon entendeur !...

 

 

                Villanueva Serge président de l'association "ASIST"

                                                et

                                  Administrateur à l'AFPCN

 

       (association française de prévention des catastrophes naturelles)

 

 

 

 état des lieux derriére la digue du barrage de l'aérodrome

au mas de la feuillade aprés l'orage de septembre 2002.

pour la sécurité il y a encore beaucoup à faire !!!

 

 


Commentaires

 

1. raymen  le 19-04-2010 à 08:58:50

notre municipalité du syndrome QI Oooo est dans son nuage pollué ki voi rien é nentenrien???je pense ke cé grave docteur kameme..

 
 
 
 

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