ASIST

surveillance des inondations et sauvegarde des territoires

posté le 05-03-2010 à 21:33:52

TEMPETE : L'URBANISATION DES ZONES INONDABLES EN ACCUSATION !

 

 

Mas de la Feuillade en septembre 2002

 Juste derriére la digue du Barrage de l'aérodrome.

Où comme l'a dit à l'époque Monsieur le Maire 

" je me suis rendu sur place  mais  je n'ai pas vu d'eau ! "

 

attendons que comme en Vendée ou en Charente il y voit de l'eau !

 

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 Vue aérienne à La Faute-sur-mer. Photo prise le 1er mars.

 

             Est ce ce  qui attend le futur lotissement du mas Lombard ?



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                     article de TONINO SERAFINI :  (journaliste à "LIBERATION")

 

Le bilan meurtrier de la tempête Xynthia fait monter la polémique.

A la clé, la question de l’urbanisation dans les zones à risques en bord de mer.

La controverse ne fait probablement que commencer.

Une chose est sûre : les services de l’Etat peinent souvent à imposer aux

élus locaux, soucieux de développer leurs communes, le respect de

règles prudentielles en matière de construction.

 

                                            Permis de construire

 

Un article publié il y a trois mois dans Ouest-France (1) en témoigne.

Il concerne justement La Faute-sur-Mer (Vendée), l’une des communes les plus

touchées par Xynthia (lire ci-contre).

Ses élus sont alors vent debout contre le Plan de prévention du risque inondation (PPRI).

Au cours d’un conseil municipal, le 19 novembre 2009, ils avaient vertement

contesté les nouvelles moutures du PPRI proposées par l’Etat, coupable

à leurs yeux de vouloir juguler leur projet d’urbanisation. «Des terrains déclarés constructibles depuis longtemps cessent tout à coup de  l’être au grand dam de leurs propriétaires», rapportait le journal. Les élus contestaient aussi les périodes de fermeture des campings municipaux - huit mois au lieu de six précédemment -, jugeant que les risques d’inondation pendant les deux mois supplémentaires n’étaient pas avérés. Pour contrer les restrictions du PPRI, le maire de La Faute-sur-Mer avançait un programme de consolidation des digues, supposé parer aux risques d’inondation. «Si les digues […] continuent d’être considérées comme vulnérables, est-il nécessaire de continuer [à les renforcer, ndlr]», s’irritait René Marratier, réélu pour un quatrième mandat en 2008 à la tête d’une liste «apolitique» d’intérêt communal.

 

«A quoi bon poursuivre la démarche d’élaboration d’un nouveau Plan local d’urbanisme [élaboré par la commune] puisque c’est le PPRI qui

s’impose de toute façon», renchérissait l’élu.

Mais force est de constater qu’une tempête plus tard, les services de

l’Etat avaient raison de se montrer vigilants et d’ériger des règles restrictives.

 

                                         Un «plan digues»

 

Face au déchaînement des éléments, les digues n’ont pas empêché les

inondations mortelles à La Faute-sur-Mer. Selon des élus locaux, l’eau serait

arrivée par les dunes, ce qui ne s’était jamais produit jusque-là. Une autre

version fait état d’une vague énorme qui serait passée au-dessus des digues et

aurait atteint des quartiers d’habitations.

   

Une chose est sûre :

une étude, menée récemment par la Direction départementale de l’équipement

(DDE) de Vendée, considère La Faute-sur-Mer ( la bien nommée!) 

comme une zone sensible construite «sur de vastes espaces gagnés sur

la mer, ne tenant pas compte de la mémoire du risque».

 

Mais officiellement, l’heure est au recueillement alors que le bilan des victimes,

plus de 50, risque encore d’évoluer.

«Ce n’est pas le moment de commencer les polémiques», a considéré hier

Nicolas Sarkozy lors d’une visite à L’Aiguillon-sur-Mer (Vendée) et à

Châtelaillon (Charente-Maritime). Le chef de l’Etat a survolé en hélicoptère les

zones inondées.

Il  a qualifié la situation de «catastrophe nationale, [de] drame humain

avec un bilan épouvantable» et a appelé «chacun à considérer

qu’aujourd’hui, c’est le temps de l’urgence».

Ainsi, le Président a annoncé une enveloppe de 3 millions d’euros pour aider les

victimes à faire face à leurs dépenses immédiates.

Un arrêté de catastrophe naturelle sera signé dès aujourd’hui.

 

Mais le chef de l’Etat, lui-même, a fait allusion aux questions de

l’urbanisation, estimant qu’«on ne peut transiger avec la sécurité». Une

«réflexion va être engagée sur le plan de l’urbanisme pour qu’une

catastrophe de cette nature ne se reproduise plus».

Une mission d’inspection, confiée aux services des ministères de l’Intérieur et de

l’Equipement, devra remettre un rapport dans les dix jours.

Enfin Sarkozy a demandé au ministre de l’Ecologie, Jean-Louis Borloo, de

lancer un «plan digues».

Mais ces remparts, érigés par les hommes pour se protéger, ne résistent pas toujours, aux éléments .

 

                               La "pression" économique

 

  La question de fond reste bel et bien celle des terrains imprudemment 

  ouverts à l’urbanisation, avec en toile de fond «des enjeux et des intérêts

  considérables», pointe un grand commis de l’Etat.

  «Il faut faire avec la pression des élus qui veulent développer leurs

  territoires, avec la pression des intérêts économiques  et immobiliers, et

  aussi avec la pression des gens qui veulent leur maison les pieds dans

  l’eau.»

 

  Résultat :

  Depuis 1999, pas moins de «100 000 logements ont été construits en 

  zone inondable sur l’ensemble de la France», souligne la secrétaire d’Etat

  chargée de  L’Ecologie, Chantal Jouanno, évoquant aussi des «pressions»

  pour desserrer les contraintes.

  Les services de l’Etat qui tentent de faire respecter les règles de prudence

  sont «constamment accusés de vouloir mettre sous cloche, d’empêcher

  les constructions», remarque la ministre.

  Ce que ne nie pas Philippe de Villiers, président (MPF) du conseil général de

  Vendée, qui se défausse sur l’Etat.

   «Il faut construire autrement, concède-t' il. Mais l’Etat impose des

   normes […] qui ne sont pas assez sévères.»

 

                                       L’afflux démographique

 

Les zones côtières, où l’on observe depuis trente ans un afflux de population, sont spécialement concernées. Un rapport du gouvernement au Parlement relatif à la loi Littoral, votée à l’unanimité en 1986, montre que les départements littoraux ont accueilli 2,3 millions d’habitants en vingt ans, soit 42% de la croissance métropolitaine (+ 5,6 millions). Les communes littorales ont gagné 530 000 personnes pendant la période. La loi Littoral vise certes à protéger l’environnement, mais recoupe aussi parfois des considérations de sécurité. De toute façon, l’urbanisation gagne : 2,5 millions de logements ont été mis en chantier dans les départements littoraux entre 1986 et 2006, dont 1,1 million en Atlantique et près de 900 000 en Méditerranée.


(1) Ouest-France du 24 novembre 2009

 

 

                      avec l'aimable autorisation du journal "Libération"

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                                       Note de la rédaction:

 

 

  Aprés ce dernier drame et depuis 12 ans  l'ex comité de quartier

  Possac-Chalvidan et maintenant l'association "ASIST" tirent la sonnette d'alarme

  au plus haut sommet de l'Etat ; se battent et dénoncent avec force les

  errements des élus en matiére d'urbanisme , tous ces braves gens ne pourront

  pas dire on ne savaient pas ou plus prosaiquement  "Plus jamais çà !!"

  Dans les médias aprés chaque catastrophe c'est toujours le mème

  cérémonial : des ballets d'hélicoptères transportants les "huiles essentielles"

  pour qu'elles se rendent compte " de visu et in situ" de l'ampleur des dégats,

  puis vient le tour "des pleureuses" lors des funérailles des victimes.

  Mais le schmilblick n'avance pas pour autant !!

  Des missions interministeriéles sont diligentées , des grands colloques organisés,

  des grands messes elles même suivies de rapports pompeusement nommés

  "retours d'expériences de crues !" 

                 ( celui de Mr PHILIPPE HUET de 2002 entres autres )

  Mais le temps étant un "grand médecin" la vie reprend son cours et l'on continue

  a urbaniser dans les zones inondables et sous des digues !!

         "Et  c'est ainsi que vogue la "Galère"  au pays du père "UBU"!!

    Verra t'on un jour le futur (?) lotissement du mas Lombard dans cet état là ??

            Et par voie de conséquence toute la plaine sud Nîmoise ??

       A Nîmes comme ailleurs nos édiles retrouveront ils un jour la raison ??

              Où bien faudra t'il que l'Etat leur fasse raison gardée ?? !! 

 

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                    Villanueva Serge président de l'association "ASIST

                                                          et

                                        Administrateur à "l'AFPCN"

   (association française de prévention contre les catastrophes naturelles )

 

 

 

A l’Aiguillon-sur-Mer.

                                                                                                         

 

              

 

              

 


 
 
posté le 26-02-2010 à 18:50:41

CHEZ LE ROI UBU ? AU DIABLE L'AVARICE !!

 

 

  

         Le Président François Mitterand en visite dans le quartier Richelieu

                          Le lendemain de la catastrophe du 3 octobre 1988

                      

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   Le Midi Libre du 24 février 2010 consacre une page entière aux inondations à Nîmes 

  sous  le titre :    « LA LUTTE S’AMPLIFIE ET S'INVITE DANS LE CENTRE VILLE »

  Où on apprend que ces travaux « pharaoniques » sont destinés à mettre à l’abri  les biens et les personnes en cas d’épisodes pluvieux  comparables à ceux observés en 2005 et 1988 !!!

  De qui se moque t’on ?

  Notre expert en inondation Mr Fournier himself  nous démontre  « preuves » à l’appui

  qu’après ces gigantesques travaux, tous ces coûteux ouvrages vont  pouvoir contenir

  deux millions de m3 d’eau .

  Or pour mémoire et à toutes fins utiles je rappelle à notre bon professeur « Nimbus »

  qu’en  octobre 1988 il est tombé sur la ville entre  dix et douze millions  de m3

  d’eau sur la ville !!!

 Quid de la différence ? 

  Notre ancien artisan peintre en lettres n’a-t-il pas appris les chiffres ? 

  N’a-t-il pas « commis » un rapport à l’attention du Président de la république « resté

  fameux et depuis  passé aux oubliettes sur le ruissellement urbain ?

  D’après nos édiles en trois ans la ville a augmentée dans une politique de surcreusement   

  de certains ouvrages une capacité de rétention supplémentaire  de 100 000 m3 !!

  Autant dire rien pour beaucoup d’argent. Tu parles d’une « perf » !!

  Quand on sait que le barrage de l’aérodrome contient 360 000 m3 a lui seul !! 

  Y a vraiment pas de quoi faire cocorico !!

  Notre éminente « Eminence » jean Paul 1er poursuit dans l’interview qui suit et à la 

  question :

 

  « Des sommes énormes sont mobilisées contre les inondations. Sont- elles

   justifiées ? »  

 

   (Réponse de Mr le Maire) :

 

  Les  Nîmois ont conscience que ces travaux sont faits pour protéger les biens et 

  les personnes,  notamment ceux qui comme moi ont connu l’apocalypse de 1988.

  Ces travaux sont indispensables, et personne, pas même l’opposition municipale,

  ne nous reproche ces sommes.

 

  Objection votre « honneur » !! Parlez au nom de l’opposition municipale si cela vous

  chante et si cette dernière n’y trouve rien à redire, mais ne parlez pas  au nom des

  contribuables  Nîmois dont je fait parti, ce qui me donne le droit de vous dire et nous

  sommes nombreux dans mon cas, que ces sommes énormes sont en totale disproportion

  avec  comme l’on dit commercialement  le retour sur investissement.

  Si l’opposition municipale ne vous reproche pas ces sommes c’est peut être que cette 

 dernière a chaussée à l’époque en 1995 les pantoufles de Mr Bousquet et qu’à votre tour

  en 2001  vous avez chaussé les pantoufles de Mrs Clary et Fabre Pujol ??

  Je te tiens … tu me tiens …par la barbichette !! On connaît la rengaine.

  Pour le reste je trouve … je ne dirais pas amusant car cela n’amuse personne, mais pour

  le moins curieux et surprenant  qu’un monsieur comme vous qui a connu comme vous

  dites « les affres du 3 octobre 1988 » persiste dans sa lubies et sa bêtise à vouloir

  urbaniser dans les zones inondables comme vous l'a fait savoir tout récemment Mr le

  Préfet en vous refusant un permis de construire rue Notre Dame.

   D’après la presse vous allez aussi délocaliser autant dire "démolir " 60 maisons dans le

  quartier Richelieu un quartier du tout début du XVIII siècle, et dans le même temps vous

  envisagez  sans vergogne d’urbaniser dans la plaine inondable du mas Lombard tout un

  quartier neuf de 1000 logements !!

  Quelle incohérence pour quelqu’un qui a connu l’apocalypse du 3 octobre 1988.

  Vous avez la mémoire un peu courte !!

   Il est vrai que comme nous allons le voir plus bas vous n’êtes pas à une contradiction

  prés. 

 Pour en revenir à l’opposition municipale qui ne vous reproche pas les sommes énormes

 engagées vous avez raison et une fois n’est pas coutume je vous approuve. Je trouve

 qu’elle manque de « mordant » car à sa place je n’aurais pas oublié de vous « moucher »

 sur l'aménagement de l’avenue « POMPIDOU ».

 A l’époque le 19 octobre 2000 alors que  vous étiez candidat  à la mairie et que pour

 parvenir à vos fins vous auriez rasé « gratis » n’importe qui, vous aviez adressé une lettre

 «  une vrai perle » à Madame Digma Alba-Rodier alors Présidente du comité de quartier

  Plate forme- cadereau ou vous lui déclariez en substance : 

 

  1/ qu’il fallait être conforme au directive du PPCI ,c'est-à-dire offrir en

  souterrain une possibilité d’écoulement d’eaux pluviales identiques à celles des

  cadereaux de Camplanier et d’Alès réunis.

 

    Comme pour l’incinérateur que n’avez-vous tenue vos promesses une fois élu ?

 

  Vous écrivez ensuite :

 

  « Que lors de l’assemblée générale du 14 octobre 2000 un représentant de la

  municipalité Clary  a présenté un projet d’aménagement de cette avenue ne

  tenant pas compte de ces impératifs  et d’un coût important de 5 millions de

   francs  soit  750 000 euros.

  J'appelle vivement votre attention sur l'opportunité de la réalisation de ces 

  travaux qui ont un caractère provisoire (...) et dont le coût est trés conséquent.

 

  Vous souhaitiez :

 

  " Que les problèmes de fond soient réglés et que toutes les garanties soient

  observées, le désastre du 3 octobre 88 étant encore présent  à nos mémoires.

 

 

  Une fois élu maire qu’avez-vous fait ? 

  L’exact contraire de ce que vous aviez préconisé dans ce courrier et l’aménagement de

  l’avenue du cadereau est passé sous votre mandature à :  2 500 000 euros soit 1 milliard

  630 millions de nos ancien francs !!! 

  Plus de 3 fois le prix envisagé par l’ancienne municipalité !! 

  (Source gazette de Nîmes  N° 240 du 9 janvier 2004)

  Mais maintenant sur les bases fixées et exigées par le fameux rapport de la mission

  interministérielle de 2006  que vous aviez soit disant « jeté à la poubelle » vous allez être

  obligé de démolir l’avenue Pompidou y faire les aménagements en sous sols et

  recommencer l’aménagement de surface !!

  Bilan … Aménagement  2005 + démolition + reprise des conduits sous terrains  du

  cadereau + réaménagement de surface … How much !! 2.500.000 euros, +, +, +...!!     

  Bingo !!     Contribuables Nîmois à vos poches et … santé !!

  Ya pas  a dire vous  êtes vraiment un  expert en économie !!  

  Qu’en pensera la Chambre régionale des comptes ? 

  Allez pour la bonne bouche et pour vous mettre en joie comme je suis un conservateur

  invétéré, je joins à mon blog l’original de votre « délicieuse » missive du 19 octobre 2000

  adressée à Madame Digma Alba-Rodier.

  Je suis sur que nos nombreux lecteurs l'apprécieront.    

                     

 

                             Villanueva Serge Président de l'association "ASIST" 

                                                       et                                      

                                        Administrateur à l'AFPCN                                   

                                 -----------------------------------------   

 

 

                        les paroles s'envolent , les écrits restent

                                        c'est pourquoi

                       " Un menteur doit avoir bonne mémoire"

 

 

                                 ( ci dessous)

 

original de la lettre adressée à la Présidente du comité de quartier plate forme -cadereau

  

 

            Pour lire ce document de façon nette "cliquez " dessus.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
 
posté le 17-02-2010 à 20:58:20

UN SENATEUR RESPONSABLE !!

     

 

 

 

 

 

 

solitude et désespoir dans la plaine du mas Lombard le 3 octobre 1988 

 

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         Intervention de Monsieur le sénateur Yves Dauge

 

                     ancien Président de l'AFPCN"

 

      Association Française de Protection contre les Catastrophes Naturelles

 

 

  Dans ce document Mr Yves Dauge sénateur d'Indre et Loire et maire de Chinon

  trace des perspectives et ouvre les portes de la sagesse.

  Son collègue à la haute assemblée le sénateur maire de Nîmes Jean Paul Fournier

  en tirera t-il les leçons ?... Rien n'est moins sur !

  A moins que l'Etat comme pour le permis de construire de la rue Notre Dame

  ne lui fasse entendre raison. 

 

 

             Pour écouter l'intervention du sénateur Yves Dauge:

 

                                (cliquez sur le lien ci dessous)

 

                      http://www.dailymotion.com/swf/x7jro2

 

 

                        l'urbanisation dans les zones inondable

 

 

                    Villanueva Serge président de l'association "ASIST"

                                                               et

                                     Administrateur à "l'AFPCN"

 

 

 


 
 
posté le 09-02-2010 à 21:06:06

UN PREFET POUR QUI L'ETAT DE DROIT A UN SENS !

 

 

 

 

 

                          Le quartier Richelieu le 3 OCTOBRE 1988

                                (non loin de la rue Notre Dame)

 

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 Midi Libre du dimanche 7 février 2010 relate dans ses colonnes que le citoyen 

 "cumulard" Fournier ci devant Sénateur, Maire et Président de l'Agglo Nîmes 

 Métropole ( à coté Proglio fait figure de rigolo et de pitoyable amateur !!) est 

 "FURAX" contre le Préfet du Gard Mr Bousiges.

En effet, ce dernier lui aurait refusé un permis de construire dans la rue Notre Dame.

Monsieur Bousiges qui, ironie du sort était l'ancien chef de cabinet du Ministre de l'environnement. Le hasard est parfois bien curieux !

En matière d'inondations gageons que ce haut fonctionnaire d'Etat doit en

connaître un rayon . 

 

Donc le représentant de "L'ETAT" a eu l'outrecuidance de refuser un permis de

construire dans la rue Notre Dame à son altesse Jean Paul "1er " en vertu de l'application stricto sensu, et à la lettre du Plan de Prévention Contre les Inondations (PPRI).

 Adjoint à l'urbanisme à l'époque des inondations du 3 octobre 1988 notre "BARRONET" local ne peut ignorer que la rue Notre Dame voisine du quartier Richelieu fait partie d'un des secteurs de la ville qui a le plus souffert en 88 !!

Serait il atteint d'amnésie ? Souffrirait il de la maladie d'Alzeïmer ?

 

Est-il concevable qu'un parlementaire de cette envergure qui en sa qualité de législateur vote les lois à Paris, ne veuille pas les voir appliquer à Nîmes en tant que maire ?

 

Lui qui fut si fier en des temps pas si lointains de signer un "PAPI" avec Madame

Nelly OLLIN alors Ministre de l'environnemment !!!

Voudrait-il des lois à sa (petite) mesure, et d'application à géométrie

 variable ?

 En tant que législateur sera-t-il un jour à l'initiative d'une nouvelle loi contre les

 "PPRI"?

 Avec une telle conception de la démocratie et du respect des lois, le pire est à 

 craindre !

 

 En tout cas bravo Monsieur le Préfet, vous qui en tant que représentant de

 l'Etat êtes le garant de la sécurité des biens et des personnes.

 Ce que d'aucun ne devraient jamais oublier.

 

                      Quand à son altesse " I'm sorry !" mais...

 

                             "DURA LEX, SED LEX"  

 

                        (dure est la loi, mais c'est la loi ) 

 

 

  

                       Villanueva Serge Président de l'association "ASIST"

 

 

 

 

3 Octobre 1988

      La gare de marchandise rue Pierre Sémard.

En arrière plan, la rue Notre Dame, un endroit rêvé pour construire.   

On se demande bien pourquoi M. le Préfet a retoqué le permis de construire.  

 

 

 

 

 


Commentaires

 

1. Symmaque  le 12-02-2010 à 13:36:58

Il semblerait que la rue Notre-Dame soit plus appropriée pour accueil un "taureau-piscine" que des logements. C'est peut-être, au fond, la politique de l'édile et de son adjoint aux soubassements.

 
 
 
posté le 28-01-2010 à 21:21:57

L'ECO- QUARTIER DU MAS LOMBARD ? ( une nouvelle esbrouffe de l'éminent Mr Perotti)

 

    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                     -------------------

 

 

 Dans la Gazette de Nîmes N° 553 on apprend de la bouche de notre baron

  Haussman local que la ville souhaite réaliser un "éco-quartier " dans la plaine

  du mas Lombard !!

  Notre "éminent urbaniste" sait-il au moins ce qu'est un éco-quartier et les

  contraintes qui vont avec ?

  Apparemment non !

  Braves gens gens allez donc sur "GOOGLE" et vous serez édifiés

 

             tapez éco quartier sur Google et allez sur la page:

 

     habitat éco-quartier: écoquartier 2009: Grenoble récompensé....

 

                         et voila l'article que vous y trouverez:

         apparemment, et même surement, on n'y trouve pas la ville de Nîmes!!

 

    Encore une "esbrouffe" de notre urbaniste local puisque sur les listes du

    Ministère de Mr Borloo, la ville de Nîmes n'en a même pas fait la demande !

 

                         ------------------------------------

 

 

                                       (extraits)

          

 

                            Un Ecoquartier... qu'est-ce donc ?

Un Ecoquartier, concept né en Europe du nord, doit concevoir dès son origine des performances énergétiques et environnementales liées aux bâtiments, à l'eau, aux déchets ou à la biodiversité mais aussi englober des considérations liées aux transports et à la mixité sociale.

Le Grenelle de l’environnementDans le cadre du projet Ecocités, 13 autres projets de villes ou d'agglomération ont été retenus. Ces projets doivent être exemplaires sur la mise en oeuvre du Grenelle de l'Environnement tout en mettant l'accent sur le développement économique et l'accueil de plus de 50.000 nouveaux habitants sur une génération.

La liste des villes, communautés ou départements retenus :

Bordeaux, Rennes, Strasbourg/Kehl, Plaine Commune (Seine-Saint-Denis), Montpellier, Nantes/Saint-Nazaire, Metz Métropole, Clermont-Ferrand, Grenoble, Marseille, Nice, La Réunion et le Pays Haut Val d'Alzette (Moselle).

Voici le palmarès de l'appel à projets Ecoquartiers 2009 et les lauréats des projets Ecocités dévoilés mercredi lors de la conférence pour la ville durable :

 

      Ecoquartiers 2009

     Grand Prix national : ZAC de Bonne à Grenoble

 

 

   Projets ruraux :

   Les Petites Grèves à Douzy (Ardennes)
   Four à pain à Faux la Montagne (Creuse)
   Saint-Germain à Vitteaux (Côte-d'Or)

  • Petites villes :

    Vigneret à Châteaurenard (Bouches-du-Rhône)
    Bois des Granges à Claye-Souilly (Seine-et-Marne)

  • Ecocités :

    Bordeaux (Plaine de Garonne)
    Rennes (Quadrant Nord-Est)
    Strasbourg/Kehl (Métropole des Deux-Rives)
    Plaine Commune (Seine-Saint-Denis/Terre de partage et d'innovation urbaine)
    Montpellier (De Montpellier à la mer)
    Nantes/Saint Nazaire (Construire la ville autour du fleuve)
    Metz Métropole (EcoCité 128)
    Clermont-Ferrand
    Grenoble
    Marseille (Marseille Euroméditerranée)
    Nice
    La Réunion (EcoCité insulaire et tropicale)
    Pays Haut Val d'Alzette (Moselle)

 

 

   ndlr : Dans tout ces noms de villes, de communes ou de communautés

  d'agglomération y avez vous vu figurer la ville de Nîmes ?

  Que nenni !!

  Seule la ville de Montpellier et la commune de Chateaurenard dans les bouches

  du Rhône y figurent pour notre région.

  A moins que fidèle à ses habitudes notre "bétonneur " en chef s'il signe le permis

  d'urbaniser de ce fameux éco-quartier n'en rejette la faute sur ses services

  comme il fit pour le mur de la honte de la route d'Alès !!

 

 

                                   Autre exemple:

 

                  Allez toujours sur "GOOGLE" et tapez :

 

 

          Qu'est ce qu'un éco-quartier ?

 

 

                          ( Voila ce que vous y trouverez :)

                                       extraits)

 

La conception d’un éco-quartier a pour objectif de proposer des logements pour tous dans un cadre de vie de qualité tout en limitant son empreinte écologique. Pour ce faire, un éco-quartier doit respecter les principes du développement durable :

       L’intégration dans la ville :

 

Qu’il soit bâti en bordure d’agglomération ou au sein même de la ville, un éco-quartier doit proposer une continuité urbaine, paysagère et architecturale de l’existant. Les équipements publics et les infrastructures de transport sont ainsi prolongés au sein du nouveau quartier. Les nouveaux équipements publics doivent répondre aux critères de la Haute Qualité Environnementale (HQE). Les transports en commun et les modes de circulation doux pistes cyclables, cheminement pédestre…) doivent être priorisés vis-à-vis de l’automobile.

Un éco-quartier doit également être exemplaire dans la prévention des risques. Par exemple, l’imperméabilisation excessive du sol augmente les risques d’inondations lors d’intempéries exceptionnelles.

Un aménagement rationalisé des surfaces bâties et une gestion des eaux de ruissellement permettent de prévenir tout risque d’inondation et assure un rôle régulateur. Cela contribue également à la valorisation des espaces publics par la mise en scène de l’eau.



 

   ndlr:  Avec de telles contraintes ce n'est pas demain la veille que le mas

   Lombard aura le label "éco-quartier".

   Le risque inondation étant omniprésent sur cette plaine !

   Mais comme pour  beaucoup d'autres choses, le mur de la honte de la route

   d'Alès entres autres, cela semble avoir échappé a notre "trés éminent"

   adjoint aux parpaings !! 

 

 

              Une vision partagée :

 

En amont de la construction d’un éco-quartier, la gouvernance et le pilotage du projet sont primordiaux pour réussir la mise en œuvre des principes du développement durable.

Une démarche participative impliquant l’ensemble des acteurs concernés (services municipaux, habitants, promoteurs, maîtres d’œuvre) doit être mise en place au travers d’ateliers d’urbanisme, de réunions publiques ou de conférences citoyennes. 

Enfin, les questions d’usages, d’entretien et de maintenance des bâtiments et des espaces publics doivent être anticipées pour garantir la pérennité des performances de l’éco-quartier.

Une fois ces grands principes énoncés, il est toutefois indispensable d’adapter la réalisation de l’éco-quartier aux caractéristiques de son territoire. L’éco-quartier a donc la particularité de s’appuyer sur les ressources locales, qu’elles soient paysagères, urbaines, humaines ou environnementales.

 

 

                                  ---------------------
 

            En voilà des conditions qui seront dures à remplir pour notre

 

         " Ricardo Bofil" local pour réaliser cette opération immobilière .

 

            Bon courage à  "Sua Emitenza"  il Signore Jacuomo Perotti

 

 

 

                 Villanueva Serge président de l'association "ASIST"

 

 

 

 

 

 


Commentaires

 

1. RAYMEN  le 29-01-2010 à 08:57:14

faut pas déconner Ricardo Bofill c est trop pour ce Tirotpé Mocuoja..ECo quartier ? mais alors pourquoi pas le proges d un lac (rétention) entoures parcours santé,parc attractions, maison d expos produits languedoc a la sortie Est auto-route comme l avais proposé en son temps le célèbre comité quartier Mas de Possac !! ça c est ECO-LOGIQUE , allez salut a tous RAYMEN...

2. aquae sextius   le 16-02-2011 à 14:21:54

je ne vois dans votre dénonciation permanente (et tous azimuts ) aucun début de proposition ... Que faut il faire ?
Déménager une ville de 145 000 h dans un endroit non inondable ?
OK , mais qui voudra de nous ?
Dans nimporte quel endroit où la ville serait déménagée , des associations de " sauvegarde des territoires " ( comme la votre ! ) se mobiliseraient ...

La faute vient des Romains : ils ont bravé les lois et ont laissé une population s installer !
Il faut les attaquer en justice ... " avant qu il ne soit trop tard " !

Mac mahon disait à Toulouse " que d eau , que d eau ! " j ai envie de dire de votre association " que de vent , que de vent .... dans des portes déjà ouvertes ! "

 
 
 
 

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