ASIST

surveillance des inondations et sauvegarde des territoires

posté le 06-10-2014 à 21:05:03

le prochain " TITANIC" au mas LOMBARD ???

Dans son journal "vivre NIMES" le sénateur -Maire se fait le "chantre" de sa propagande et de sa "petite" personne , de ses réalisations ,de ses réussites mais là sur le coup alors qu'il vient d'enregistré une "CUISANTE FESSEE  " ....

pas un mot  !!

Maitre Fournier sur son fauteuil "perché" aurait t'il l'information "SELECTIVE" ??

 le service communication de la Mairie ne fonctionnerait donc pas si bien que cela  ??  

Nous allons réparé "cet oubli" et pallier  à ce manquement   !!

 

 

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NOS CITATION DU SOIR

 

Tout viendra " peut être " à point à qui a sut attendre !!  

 

Patience et longueur de temps feront "peut être" plus que force ni que rage !

 

16 ans de lutte !!! notre pugnacité, notre "clairvoyance", notre "sagesse" et notre désintérèt  auront "peut être" raison de l'aveuglement de "certains" !! 

 

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ci joint 2 courriers qui en disent plus qu'un long et vain discours  !!

 

/1 : l'avis de la commission Mixte Inondation du 10Juillet 2014 !!

 

/ 2 : l'autre étant la "lettre de Mr le Préfet du Gard adressée à Mr le

 

Sénateur Maire de Nîmes en date du 30 Juillet 2014 !!

 

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il est pour le moins bizarre que le public et les citoyens concernés au "premier chef" n'aient pas été informé  aux vue des catastrophes inondations à répétitions que  notrerégion traverse avec constance ces jours derniers  !! gageons qu'il ne doit s'agir que d'un"OUBLI" !!

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Pour ce qui nous concernent nous attendons sereinnement les résultats des investigations de la CMI !

(commission mixte inondation) 

 

 

pour une bonne lecture cliquez sur les documents   

 

 

Bonne et instructive lecture à tous  !!  

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pour information Nîmes se trouve pour la "troisième" fois en moins d'un mois en "VIGILANCE ORANGE"  !!

ce soir du "6 Octobre 2014 "

 

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Mr VILLANUEVA SERGE

président de l'association "ASIST"

(association de surveillance des inondationset sauvegarde des territoires)

311 rue abbé Duplan

 30 000 Nîmes 

 

 

 


Commentaires

 

1. alderic25  le 07-10-2014 à 16:49:35  (site)

Bravo pour votre travail (de longue haleine) au service de la population.

 
 
 
posté le 21-09-2014 à 17:33:59

nous ne sommes pas JESUS !! ne pardonnons pas !! ils savent ce qu'ils font !!

 aprés les terribles inondations de ces derniers jours dans notre département et dans la région voici  

un article intéressant à plus d'un titre  !!

qui devrait interpellé nos "décideurs NIMOIS et les plus hautes autorités de l'ETAT  

 

 

 
 
 
LES INONDATIONS DANS LE VAR NE SONT PAS UNE CATASTROPHE NATURELLE
Hervé Kempf (Reporterre)

Les inondations dans le Var s’expliquent par la bétonisation incontrôlée des terres. Si l’on ne veut plus d’inondations catastrophiques, il faut arrêter le gaspillage des terres et l’étalement urbain.
...
Inondations dans le Var, alerte rouge, des disparus, des morts… et le Premier ministre qui se précipite avec le ministre de l’Intérieur et le ministre de l’Ecologie, ce lundi, dans la région sinistrée, et déclare l’état de "catastrophe naturelle".

Sauf que ce n’est pas la pluie diluvienne qui crée tant de dommages, mais les conditions dans lesquelles l’eau s’écoule ou est absorbée par le sol. Et comme le Var est un département où l’artificialisation des sols se poursuit à une vitesse incontrôlée, les sols y sont de plus en plus imperméables : "L’imperméabilisation de la surface des sols a de nombreuses conséquences environnementales, écrit le Commissariat général au développement durable. Elle favorise le ruissellement de l’eau le long des pentes au détriment de son infiltration, l’érosion des sols, les coulées d’eau boueuse et le risque d’inondation."

Le phénomène est très bien connu des instances régionales, et c’est sur le site internet du département que l’on apprend que "la forte pression foncière alliée à une forte attractivité touristique conduit à une augmentation régulière des surfaces artificialisées (14,7 % sur la seule période 1993-2002, enquête Teruti). Cette imperméabilisation croissante des bassins versants accentue le caractère torrentiel des écoulements. Ces effets sont aggravés par la constitution des sols, peu favorables à l’infiltration des eaux. Les cours d’eau, qui peuvent charrier nombre de matériaux solides, sont également fortement artificialisés".
Lire l'article dans l'intégralité:
 

Les inondations dans le Var s’expliquent par la bétonisation incontrôlée des terres. Si l’on ne veut plus d’inondations catastrophiques, il faut arrêter le gaspillage des terres et l’étalement urbain.

 ce qui est valable pour le VAR l'est aussi pour le GARD  où pout tout autres département


Inondations dans le Var, alerte rouge, des disparus, des morts… et le Premier ministre qui se précipite avec le ministre de l’Intérieur et le ministre de l’Ecologie, ce lundi, dans la région sinistrée, et déclare l’état de « catastrophe naturelle ».

Sauf que ce n’est pas la pluie diluvienne qui crée tant de dommages, mais les conditions dans lesquelles l’eau s’écoule ou est absorbée par le sol. Et comme le Var est un département où l’artificialisation des sols se poursuit à une vitesse incontrôlée, les sols y sont de plus en plus imperméables : « L’imperméabilisation de la surface des sols a de nombreuses conséquences environnementales, écrit le Commissariat général au développement durable. Elle favorise le ruissellement de l’eau le long des pentes au détriment de son infiltration, l’érosion des sols, les coulées d’eau boueuse et le risque d’inondation. »

Le phénomène est très bien connu des instances régionales, et c’est sur le site internet du département que l’on apprend que « la forte pression foncière alliée à une forte attractivité touristique conduit à une augmentation régulière des surfaces artificialisées (14,7 % sur la seule période 1993-2002, enquête Teruti). Cette imperméabilisation croissante des bassins versants accentue le caractère torrentiel des écoulements. Ces effets sont aggravés par la constitution des sols, peu favorables à l’infiltration des eaux. Les cours d’eau, qui peuvent charrier nombre de matériaux solides, sont également fortement artificialisés ».

Certes, la population du département a beaucoup augmenté depuis trente ans : de 708 000 habitants en 1982 à 1 013 000 en 2011 (soit + 43 %), ce qui a entraîné une explosion de l’urbanisation. Mais cette urbanisation s’est réalisée sans souci d’économiser l’espace et,....

comme l’a relevé le sénateur Pierre-Yves Collombat dans un rapport publié en 2012, « sans aucune prise en compte du risque inondation : des terrains inondables sont lotis, de vastes surfaces sont imperméabilisées de manière artificielle, les cours d’eau traversant les villages sont

couverts, parfois a minima ».

Le secret des inondations : la « soif de l’argent »

Le constat du sénateur est clair : « Les autorisations de construire ont été délivrées sans véritable prise en considération du risque inondation ou, plus exactement, avec une prise en compte à éclipse bien incapable de contenir ’la soif de construire’ locale, pour reprendre l’expression de la Cour des comptes. Le manque de moyens des services de l’État et des services municipaux, s’agissant des petites collectivités territoriales, face à la ténacité et à l’ingéniosité des promoteurs et à la pression des propriétaires fonciers est un élément d’explication. La mise en place, autrefois d’un plan d’occupation des sols (POS), aujourd’hui d’un PLU, est l’exercice de politique locale le plus à risque dans le Var, comme partout où la pression foncière est forte. »

Et pour ceux qui ne comprendraient pas tout à fait, le texte enfonce le clou : « Si l’écart entre la politique officielle de fermeté des pouvoirs publics et les moyens qui lui sont affectés explique pour partie que ’la soif de construire’ ait pu aussi facilement trouver à s’étancher dans le Var, il n’explique pas l’origine de cette ’soif’. Que ce soit l’argent est si peu un secret qu’on s’étonne que le boom immobilier ait pu prospérer sans encombre aussi longtemps. Que l’on sache, pas de procès marquant ou de sanction électorale pour fait de ’bétonnage‘ illégal et dangereux. »

En fait, les inondations dans le Var (comme récemment en Bretagne, et comme dans de plus en plus d’endroits), résulte du laxisme des politiques foncières, qui encouragent systématiquement l’immobilier. C’est ce qu’explique en termes pondérés le sénateur Collombat : « L’immobilier, dopé par l’endettement, est devenu ces trente dernières années l’un des moteurs essentiels de l’économie occidentale, au point de le mettre aujourd’hui durablement en crise. Limiter l’explication de l’urbanisation, comme le font ses censeurs, à sa dimension morale et psychologique est un peu court. ’Ils feignent’, disait Bossuet, ’de s’affliger des conséquences tout en s’accommodant des causes.‘ ».

Si l’on ne veut plus d’inondations catastrophiques, il faut arrêter le gaspillage des terres et le bétonnage des sols. De ce point de vue, le déplacement express de M. Ayrault, qui ne songe qu’à bétonner Notre Dame des Landes et affaiblit les procédures réglementaires par un « choc de simplification », est une pantalonnade.


 


Source : Reporterre.

Photo : leparisien.fr.

 


                                          Mr Villanueva Serge

                                  Président de l'association "ASIST" 

                 (association de surveillance et  sauvegarde des territoires ) 

                                             311 rue abbé Duplan  

                                               30 000  Nîmes

 


 
 
posté le 04-05-2014 à 13:14:51

la neige retrouve toujours son passage ! ...L'EAU AUSSI ...comme à NIMES EN 1988 !!

 
 

 
 
 Petite vidéo à l'attention des autotités de l'ETAT !
 
 vue que les décideurs "Elus " restent sourds        
 
vidéo a regardé avec la plus grande"attention" ...
pourront plus dire ...on ne savaient pas !!      
 
 
il en est de même pour les inondations que pour les avalanches !!
 
   la nature reprend toujours "SES" droits !! .... 

les avalanches reprennent toujours leurs couloirs et les rivières où les cadereaux leurs lits !!
                     a bon entendeur !!
 
         cliquez sur la photo pour voir la vidéo !!
 
                      impressionnant  !!
 
 
 
L'avalanche qui n'a pas voulu emporter les chalets
 Une impressionnante avalanche a eu lieu jeudi dans le val Passiria, dans le sud du Tyrol. C'est un agriculteur occupé à enlever la neige du toit de sa grange qui a capturé ces images. Par chance, elle n'a fait aucun blessé....
 
TOUT  AUTRES COMMENTAIRES EST SUPERFLU !!
 
la vidéo se suffit et parle d'elle même  
 
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                            Monsieur Villanueva Serge
                         président de l'association " ASIST"
   (associationde surveillance des inondations et sauvegarde des territoires  ) 
                                         311 rue abbé Duplan
                                            30 000 Nîmes   
 


 
 
posté le 06-03-2014 à 22:39:20

comment convaincre "LES ELUS" que l'inondation arrivera un jour où l'autre ?

 

 

A l'approche des élections municipales et aprés 15 ans de lutte contre l'urbanisation du "mas Lombard" il nous parait capital de remettre sur le métier notre ouvrage à Nîmes tout particulièrement où les élus en place se complaisent a bétonné tout ce que l'espace périurbain et les zones inondables  peuvent leur "offrir " en matière de terrain à lotir !!

 Mesdames-Messieurs les candidat(e)s on attend   

 vos propositions sur ce sujet  !!

 

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Comment convaincre les gens que l’inondation va vraiment se produire un jour       

       

       

« Comment convaincre les gens que l’inondation va vraiment se produire un jour ? »
(Crédit photo : Loïc Raynard - flickr)
 
Interview - La Bretagne a les pieds dans l'eau, le Var passe en vigilance orange. Les Français sont-ils suffisamment préparés au risque d'inondation ? Pas encore, selon Bruno Ledoux, géographe et consultant spécialiste des inondations.
                       
   Bruno Ledoux est géographe, consultant spécialisé dans la gestion des risques.

Terra eco : En France, est-on suffisamment préparé à affronter un événement climatique extrême ?

Bruno Ledoux :
Il ne faut pas confondre la préparation à une crise et la gestion de la crise. Ce sont deux choses bien différentes. D’abord, il faut relativiser la crise en cours en Bretagne. Les gens en ont certes marre parce qu’ils ont les pieds dans l’eau tous les quinze jours, mais on a connu bien pire.
Ce n’est pas la tempête Xynthia (qui a frappé l’Europe en 2010, ndlr). On n’a pas 3 mètres d’eau et des morts. Il n’y a pas de raison de paniquer. Toute la difficulté est de savoir donner la priorité aux risques les plus importants. Or, depuis trente ans en France, on a pris l’habitude de répondre au coup par coup.

Pour quelles raisons se contente-t-on de gérer au coup par coup ?

Parce que c’est plus facile politiquement ! Construire une politique publique qui définit des territoires prioritaires sur lesquels concentrer les efforts financiers de prévention, c’est difficile. Jusqu’à assez récemment, on ne s’était d’ailleurs pas posé la question : quels sont les territoires les plus exposés ?
Depuis 2007, une directive européenne inondation nous oblige à faire ce recensement et ces analyses. On commence à bien identifier ces territoires, mais l’effort financier national ne leur est pas encore consacrés.
Ce qu’il se passe en Bretagne, c’est modeste par rapport à ce qu’ont vécu le Var ou les Pyrénées. Le risque, c’est pourtant que l’on mette sur cette crise tout l’argent disponible. Est-on capable de concentrer les efforts financiers sur quelques territoires prioritaires pendant les dix prochaines années ?

Quels sont ces territoires identifiés comme vulnérables aux crises ?

Un récent rapport de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) a été consacré au risque de crise majeure en Ile-de-France en cas de crue de la Seine. Là, on peut avoir peur ! Là, on peut se demander si la prévention est à la hauteur des enjeux. Le rapport prévoit entre 3 et 30 milliards d’euros de dommages. Avec la crue en Ile-de-France, le PIB sera écorné, des milliers d’emplois mis en péril. Le rapport souligne par ailleurs que notre préparation n’est pas à la hauteur des enjeux.

Aujourd’hui, une fois la crise déclarée, est-on suffisamment efficace ?

Il faut accepter qu’on peut surestimer ou sous-estimer un événement extrême. Mais, en quelques décennies, nous sommes passés du néolithique à l’ère moderne de la gestion de crise. Aujourd’hui, nous disposons de services météo performants. Ensuite, tout dépend des capacités de préparation et de réaction locales. En France, les capacités de secours sont remarquables, nous ne sommes pas à la traîne des autres pays européens. Sur la préparation, il y a des améliorations à faire. Il n’y a pas assez d’exercices de coordination des différents acteurs qui devront prévenir les habitants, les entreprises, les institutions… Par ailleurs, quand les gens n’ont jamais vécu une inondation, il y a un déni du risque. Ils n’y croient pas. Nous, les professionnels de ces questions, sommes très démunis face à cette réalité. On sait faire des plans sur le papier, mais comment convaincre les gens qu’une inondation va vraiment se produire un jour ?

La mémoire d’évènements passés ne se transmet donc pas ?

Les hydrologues ont mis en évidence que, entre la Seconde guerre mondiale et les années 1980, la France a été relativement épargnée par les évènements climatiques exceptionnels. C’est un pur hasard statistique. Pendant quarante ans, nous avons vécu un blanc dans la chronologie des catastrophes naturelles. Cette période correspond en outre à la fin des Trente glorieuses, à l’exode rural et à une extension urbaine importante. On a construit sans précaution sur les terrains facilement accessibles et plats : les lits des cours d’eau. Aujourd’hui, avec les crises actuelles, nous payons les pots cassés de cette urbanisation.

Y a-t-il une prise de conscience que le changement climatique va accentuer ces crises ?

Sur le littoral, c’est très clair. Il y a quinze ans, les plans de prévention consacraient moins de deux lignes à cette question.
Aujourd’hui, l’élévation du niveau de la mer à l’horizon 2100 est un sujet omniprésent. Ce risque a des traductions réglementaires et cartographiques. De moins en moins de gens discutent ce point. Et ces derniers mois sur le littoral constituent une belle démonstration de la direction que ces phénomènes vont prendre. Sur les crues des rivières, les scientifiques ont beaucoup plus de mal à qualifier et à quantifier le risque supplémentaire engendré par le changement climatique. Mais le risque actuel est déjà tellement important !

Sous-estime-t-on encore le risque de crue de rivière ?

On dispose d’une bonne connaissance de ce risque, et d’une cartographie bien meilleure qu’il y a trente ans !
La vraie difficulté, c’est d’arrêter l’urbanisation en zone inondable.
D’un côté, que fait-on des gens qui y vivent ? Les force-t-on à déménager ? C’est une question politique. De l’autre, comment continue-t-on à densifier la ville ? Les directives du Grenelle, en effet, l’impose. Or, les seules zones encore aménageables sont les grandes friches industrielles en reconversion. Et ces sites sont en zones inondables. Toutes les villes sont concernées. C’est un défi pour les architectes et les ingénieurs : construire des quartiers capables de supporter la submersion, continuer à faire fonctionner les réseaux quand ces événements arriveront…
C’est aussi un défi politique : pour arrêter l’étalement urbain, assume-t-on de mettre les gens les pieds dans l’eau ?

 

A lire aussi sur Terraeco.net : Paris mal préparée pour la crue du siècle

Xynthia, inondations du Var… : Les catastrophes vont-elles se multiplier ?

 

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                                        Villanueva Serge

                           président de l'association "ASIST"  

  ( association de surveillance des inondations et sauvegarde des territoires)

                                        311 rue abbé Duplan

                                             30 000 Nîmes  

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posté le 25-01-2014 à 22:18:15

quand une crue centennale devient.... "quinquennale " !!

 
 

 
 
 
        Ce qui est vrai pour le VAR l'est pour le GARD
 
                     et a fortiori pour Nîmes !! 
 
       surtout qu'a Nîmes nos élus adorent "bétonner " 
 
  surtout en ce qui concerne l'urbanisation future et l'imperméabilisation
  de la  plaine du Mas LOMBARD  !!
 
 
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        LES INONDATIONS DANS LE VAR NE SONT PAS
                    UNE CATASTROPHE NATURELLE
Hervé Kempf (Reporterre)

Les inondations dans le Var s’expliquent par la bétonisation incontrôlée des terres. Si l’on ne veut plus d’inondations catastrophiques, il faut arrêter le gaspillage des terres et l’étalement urbain.
...
Inondations dans le Var, alerte rouge, des disparus, des morts… et le Premier ministre qui se précipite avec le ministre de l’Intérieur et le ministre de l’Ecologie, ce lundi, dans la région sinistrée, et déclare l’état de "catastrophe naturelle".

Sauf que ce n’est pas la pluie diluvienne qui crée tant de dommages, mais les conditions dans lesquelles l’eau s’écoule ou est absorbée par le sol. Et comme le Var est un département où l’artificialisation des sols se poursuit à une vitesse incontrôlée, les sols y sont de plus en plus imperméables : "L’imperméabilisation de la surface des sols a de nombreuses conséquences environnementales, écrit le Commissariat général au développement durable. Elle favorise le ruissellement de l’eau le long des pentes au détriment de son infiltration, l’érosion des sols, les coulées d’eau boueuse et le risque d’inondation."

Le phénomène est très bien connu des instances régionales, et c’est sur le site internet du département que l’on apprend que "la forte pression foncière alliée à une forte attractivité touristique conduit à une augmentation régulière des surfaces artificialisées (14,7 % sur la seule période 1993-2002, enquête Teruti). Cette imperméabilisation croissante des bassins versants accentue le caractère torrentiel des écoulements. Ces effets sont aggravés par la constitution des sols, peu favorables à l’infiltration des eaux. Les cours d’eau, qui peuvent charrier nombre de matériaux solides, sont également fortement artificialisés".
Lire l'article dans l'intégralité:
LES INONDATIONS DANS LE VAR NE SONT PAS UNE CATASTROPHE NATURELLE
Hervé Kempf (Reporterre)

Les inondations dans le Var s’expliquent par la bétonisation incontrôlée des terres. Si l’on ne veut plus d’inondations catastrophiques, il faut arrêter le gaspillage des terres et l’étalement urbain.
...
Inondations dans le Var, alerte rouge, des disparus, des morts… et le Premier ministre qui se précipite avec le ministre de l’Intérieur et le ministre de l’Ecologie, ce lundi, dans la région sinistrée, et déclare l’état de "catastrophe naturelle".

Sauf que ce n’est pas la pluie diluvienne qui crée tant de dommages, mais les conditions dans lesquelles l’eau s’écoule ou est absorbée par le sol. Et comme le Var est un département où l’artificialisation des sols se poursuit à une vitesse incontrôlée, les sols y sont de plus en plus imperméables : "L’imperméabilisation de la surface des sols a de nombreuses conséquences environnementales, écrit le Commissariat général au développement durable. Elle favorise le ruissellement de l’eau le long des pentes au détriment de son infiltration, l’érosion des sols, les coulées d’eau boueuse et le risque d’inondation."

Le phénomène est très bien connu des instances régionales, et c’est sur le site internet du département que l’on apprend que "la forte pression foncière alliée à une forte attractivité touristique conduit à une augmentation régulière des surfaces artificialisées (14,7 % sur la seule période 1993-2002, enquête Teruti). Cette imperméabilisation croissante des bassins versants accentue le caractère torrentiel des écoulements. Ces effets sont aggravés par la constitution des sols, peu favorables à l’infiltration des eaux. Les cours d’eau, qui peuvent charrier nombre de matériaux solides, sont également fortement artificialisés".
 
    a lire avec une grande attention la suite ci dessous  !!
 
        elle est d'actualité à Nîmes en particulier  
 
 
           cliquez sur le lien ci dessous  c'est édifiant  !!
  
 
                  Lire l'article dans l'intégralité:
 
 
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                                     Villanueva Serge   
                            Président de l'association "ASIST"  
   (association de surveillance des inondations et sauvegardes des territoires )
                                    311 rue abbé Duplan
                                          30 000 Nîmes   
 
 
 


Commentaires

 

1. raymen30  le 28-01-2014 à 14:36:29  (site)

pour et sur les innondations cette formule varoise est sans appel:ON BETONNE et on s' ETONNE !! tout est dis bravo !!

 
 
 
 

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