Le 29 Mai 2009 à Algodoes dans l'état du Piaui dans le Nord du Brésil la rupture
d'un barrage a provoqué la mort de 8 personnes dont celles de deux fillettes de 10 et 12 ans et la destruction de 500 maisons !
La presse en a fait un tout petit écho !
C'est vrai que le Brésil est loin !
Mais enfin pas tant que cela puisque la catastrophe aérienne d'Air France du
Dimanche 1er Juin 2009 qui a coûté la vie à 228 passagers venant du Brésil rend soudainnement ce pays tout proche !
Mais 8 morts par rupture de barrage dans un si grand pays c'est vrai que cela ne méritait pas la une des journaux.
Et pourtant à bien y réfléchir, en se grattant un peu la tête et pour peu qu'on ai un tant soit peu de jugeotte on peut légitimement se demander ce qui se passerait si un évènement type 3 Octobre "88" se reproduisait, ce qui au vu des derniers épisodes orageux cévenols n'est pas une simple vue de l'esprit !
(420 m/m à Nîmes en quelques heures et 650 m/m à Aubord en 2003)
Que pourrait-il bien advenir dans notre bonne ville de Nîmes pour les habitants d'une zone inondable qui ont déja subi les inondations de 1988 ( 11 morts) ?
-Comment résisterait "L'ARMADA" de barrages qui ceinture les hauteurs de la ville ?
- Comment se comporterait le barrage de l'aérodrome ? Le plus important d'entres tous avec ses 460 000 m3 suspendu comme une bombe à retardement au dessus des lotissements du mas de Possac- Chalvidan" et sur le futur programme immobilier du mas Lombard avec ses futurs (?) 1000 logements.
Que se passerait-il en aval ?
Qu'adviendrait-il des lotissement des mas de Possac-Chalvidan, du lotissement de l'Armoise, des quartiers de Malleroubine, du lotissement du mas de Ville, de celui de Haute Magaille, du quartier de la cité des Espagnols, plus bas encore de celui des Charmilles et des nouveaux centres commerciaux de Carré-Sud et enfin de toute cette basse plaine du Vistre sur urbanisée; sur bétonnée et promise aux promoteurs de tous poils ?
L'Etat et nos soi-disant décideurs, dépositaires provisoires d'une "once" de pouvoir ont-ils bien mesuré l'enjeu et la gravité de leur décision ?
Vu les projets affichés par la municipalité ont est en droit de douté !!
Villanueva Serge Président de l'association "ASIST"
Dans la discussion du projet de loi Grenelle 1, la commission des Affaires économiques a adopté un amendement déposé notamment par Mr Laffineur, vice président de l'Assemblée Nationale. En cas d'annulation par un tribunal d'un Plan Local d'Urbanisme (PLU), il sera désormais possible de faire réviser les plans d'occupation des sols par une procédure simplifiée dans un délai de 2 ans.
Le code de l'urbanisme en prend un coup !
Prenant l'apparence à première vue d'une simple disposition technique, cet amendement prolonge la possibilité d'utiliser la procédure de révision simplifiée pour faire évoluer ponctuellement les anciens "POS" ( plan d'occupation des sols).
POS et PLU sont les documents de référence fixant sur le territoire d'une ou plusieurs commune(s), les dispositions d'urbanisme participant au cadre de vie de ses habitants.
UNE DISPOSITION CONTRAIRE AU CODE DE L'URBANISME
Le code de l'urbanisme ne prévoyait cette possibilité que jusqu'a la fin de l'année 2009, pour faciliter la transition entre les anciens "POS" et les "PLU".
Avec cet amendement, cette procédure dérogatoire serait désormais étendue aux cas d'annulation contentieuse d'un "PLU" pendant un délai de deux ans suivant la décision du juge.
UN AMENDEMENT SUR MESURE
Cet amendement est bien du "sur mesure" pour contourner les conséquences de l'annulation récente et sévère du "PLU" Centre de l'Aglomération d'Angers (49) par le tribunal administratif de Nantes dans son jugement du 21 Avril 2009.
En effet Marc Laffineur, vice président de l'Assemblée Nationale, est Maire de la commune d'Avrillé, une des 4 communes concernées par l'annulation.
Il est en outre vice président de la communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole, compétente pour l'élaboration des documents d'urbanisme !
Doit-on désormais considérer que le code de l'urbanisme est soluble dans les contentieux locaux ?
Le législateur s'efforcerait- t-il de gommer au fur et à mesure les conséquences des erreurs d'appréciation et autres illégalités locales ?
Le principe de la séparation des pouvoirs législatifs et exécutif, fut-il local, est de plus ici sérieusement égratigné.
LES DECISIONS DE JUSTICE IGNOREES
Si cet amendement est adopté, il permettra de faire passer de multiples aménagements et projets immobiliers par des procédures dérogatoires, au mépris d'une décision de justice : pas moins de 40 révisions simplifiées ont d'ores et déja été annoncées par les élus de l'Agglomération d'Angers !!
Pour France Nature Environnement , seule une approche cohérente- prenant en compte le changement climatique par la rénovation environnementale des logements anciens et la reconquête écologiques des villes, dans une démarche de concertation avec les associations, les habitants et le tissu socio-économique peut permettre , à Angers (comme à Nîmes) ou ailleurs, d'élaborer des documents d'urbanisme respectant véritablement la démarche globale du Grenelle de l' environnement.
article du 2 juin 2009 de la Fédération des associations de protection
de la nature et de l'environnement
1. laferriere le 08-06-2009 à 23:59:10 (site)
bonjour, nous sommes à la recherche de parrainages et de membres, visitez notre blog en entier. merci
Le contexte:
D'un côté ensembles et complices.
- Dabord la municipalité de Garons avec son Maire en tête qui veut se débarasser des avions Rafales pour que le"PEB" (plan d'exposition au bruit) puisse avoir l'agrément Préfectoral afin de rendre le plateau de Garons urbanisable dans des zones qui ne le sont pas encore. (enfin pas encore...)
Ce qui par voie de conséquences condamne à aller se faire voir sous des cieux plus hospitaliers les milliers de militaires de l'aéronavale qui vont avec et qui représentent une richesse certaine pour le bassin économique Nîmois mais également et surtout la tour de controle, ce qui de facto sonne le glas de l'aéroport civil, oubliant un peu vite que si le charmant village de Garons a pris son essor et a acquis une certaine prospérité c'est grace à "son" aéroport , celui de Nîmes-Garons qu'il le doit!
La piste qui a été refaite à grands frais récemment sur le dos des contribuables que nous sommes passerait ainsi à pertes et profits !
Au diable l'avarice: quand on aime on ne compte pas, surtout quand ce n'est pas de vos propres deniers dont il s'agit !
- Ensuite d'un embryon de comité de quartier n'ayant pour seul souci que sa petite tranquillité, son petit confort acoustique et qui n'est composé pour la plupart que d'égoïstes nantis habitants le trés huppé quartier du parc Saint Cloud et qui se soucient comme d'une guigne:
-1er Des emplois civils dépendant directement du maintien de la base sur le site
-2em Des terres agricoles saccagées, bétonnées et perdues à tout jamais pour le seul profit de quelques uns !
" je rappelle au passage que chaque année 60 000 hectares de terres agricoles disparaissent chaque année en France pour construire " des villes à la campagne" !
Et que les gens qui composent ce "comité de quartier" ne veulent même pas la venue (dixit): "des pétrolettes, des tondeuses du ciel" venues de l'aérodrome de Courbessac.
De l'autre côté et ensembles
( si l'on en croit les déclarations des uns et des autre)
- Le Sénateur Maire de Nîmes qui s'oppose avec raison et véhémence contre cette folle utopie, ce gaspillage d'argent public pour maintenir l'activité de l'aéroport civil et ainsi sauver des centaines d'emplois dont Nîmes ne saurait se passer.
IL aurait trouvé auprés du Ministre des transports Mr Dominique Bussereau la certitude du maintien de l'activité sur la base en maintenant la tour de controle opérationelle et en souhaitant transférer les activités de l'aérodrome de Courbessac à Nîmes -Garons. Dont acte .
- Monsieur Dominique Granier, Président de la chambre d'agriculture,Président de la "SAFER" et tout nouveau Président du développement durable de l' agglomération de Nîmes-Métropole.
Monsieur Dominique Granier qui dans plusieurs journaux se dit:
" Hostile et opposé au saccage et au pillage des terres agricoles au seul profit de quelques dizaines de personnes qui ne sauraient s'enrichir au détriment du paysage et de tous ceux qui vivent sur le territoire.
Non au chacun pour soi, oui au vivre ensemble.
Préservons la surface utile agricole du Département qui a fondu de 7,5 pour cent en quinze ans.
Au nom du développement durable gardons la terre pour nourrir la planète."
Voila le contexte pour les non initiés s'il en était parmi nos nombreux lecteurs.
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Mais à l'heure ou on nous parle de protéger les zones agricoles, par la voix de Mr Dominique Granier ci devant:
- Président de la chambre d'agriculture
-Président de la "SAFER"
-Et tout nouveau Président du conseil du développement durable de l'agglomération de Nîmes Métropole
( cela fait beaucoup de casquettes pour une seule tête)
On apprend par Midi Libre du 19 Mai 2009 que quelques trois cents hectares du plateau de Garons ( excusez du peu!) pourraient être constuctibles dans quelques années et être sacrifiés aux mains des promoteurs avec la bénédiction de quelques élus du coin spéculateurs propriétaires de quelques arpents de terre plus celle d'un pseudo " comité de quartier" pseudo écolo.
(Promoteur qui serait si l'on en croit la presse une référence dans le genre ...
Le groupe lyonnais Lagrange!)
Cela ne semble pas poser de problèmes de contradiction , ni de problèmes de conscience à ce "comité de quartier" qui parle des terrains de Garons comme des terrains ayant une agriculture d'excellence, mais que ; ma fois par les temps qui courent et les temps étant ce qu'ils sont, ils ne verraient pas trop d'objection ni d'inconvénient, ni d'un mauvais oeil à ce que ces même terres soient sacrifiées au profit d'un centre de balnéothérapie, avec hôtels,et restaurants, tourisme d'affaire et de villégiature.
Ou bien le projet des luxueuses Bastides du château de la Perrouse à 1 million d'euros l'unité...sans le terrain !!!
Plus écolos que ces gens là ! tu meurs !
ces Nobliaux ne veulent ni des rafales, ni des tondeuses à gazons et autres pétrolettes célestes (ULM) venus de Courbessac !
On est et on veut rester entres gens de bonnes compagnies.
Que ces gueux aillent pétroler ailleurs et les Rafales avec !
Et tant pis si on sacrifie les emplois sur la base de Garons.
Et tant pis si on si on massacre et saccage les terres agricoles.
Aprés nous le déluge !
Et tant pis pour les générations futures.
Foin de l'agriculture , nos enfants mangeront du béton.
Pauvre monde! quelle gabegie !
Ici on ne veut que le vert tendre des "greens" le bruit des balles de golf des "putters" ou autre "swingueurs et autres " aristos" du coin ou descendus de Paris, d'Angleterre ou de Suède et n'entendre que les bruits d'ailes feutrées des oiseaux et le vrombissement des chants de sansonnets.
Mais au fait ! comment descendent chez nous tous ces "Rmistes" ?
En avion ma chère Dame !
Et c'est d'ailleurs bien les seuls avions que ces braves gens supportent !
Ceux qui les déposent sur notre sol !
Mais au fait quand ces pauvres "hères" achetèrent leur modeste parcelle au parc saint Cloud ou leur "loft so cosy " au golf club de Campagne et afin de leur rafraichir la mémoire à toutes fins utiles je leur signale que l'aéroport existait dejà et la base aéronavale également et qu'ils se sont installés à l'époque en toutes connaissances de causes.
Il y a même eut des Boeing 747 qui se sont posés sur Garons et ce n'étaient pas les plus silencieux!
Sur la plaine du mas Lombard , nous les indigènes du crue nous sommes sur le couloir aérien de Garons, nous nous payons les Rafales, les avions de lignes de Ryannair, les bréguets atlantique de l'aéronavale et en plus pour faire bonne mesure nous avons les fameuses tondeuses pétrolettes de l'aérodrome de Courbessac qui nous jouxte !!
Allons Messieurs Dames un peu de pudeur et de décence paraîtrait être de mise en ces temps difficiles.
Pensez aux terres agricoles sacrifiées sous le béton, aux emplois et aux familles éclatées.
Lorsque les avions passent au dessus de vos têtes dites vous " qu'il y a un pilote dans l'avion" et l'équipage qui vas avec. Et... autant d'empois pour les entreprises au sol qui assurent la maintenance de ces avions et...accessoirement... des familles !
Pour le coup et une fois n'est pas coutume je suis entièrement d'accord avec le Sénateur Maire de Nîmes, et l'association "ASIST" que je préside le soutiendra sans réserves sur ce coup là !!
Villanueva Serge président d'"ASIST"
La Marseillaise du 9 mai 2009 nous apprend que la SNCF ET RFF ont entrepris de creuser sous les voies à Nîmes Grézan pour y faire passer un pont cadre, un tunnel cadre, devrais-je dire puisqu’il passera sous les faisceaux dont celles des TGV sur une distance longue de 140 mètres !!
Le sous dimensionnement de cet ouvrage laisse les spécialistes hydrauliques rêveurs et le profane ahuris !!
En effet comment faire passer les 450 000 m3 du barrage de l’aérodrome sous un si petit goulet ? !
C’est la quadrature du cercle en somme !!
Cela nous rappelle douloureusement le sous dimensionnement du Cadereau de l’avenue Pompidou de sinistre mémoire !
1. francois Combot le 14-05-2009 à 07:57:44
Que disent les études hydrauliques ? Y-a-t-il eu une concertation avec la population? Ce projet s'inscrit-il dans le programme ? Ces réponses premettraient d'établir qui est le maître de l'ouvrage. En tous cas cela ne peut être la SNCF, qui n'est plus propriétaire de l'infrastructure ferroviaire. Si sur le fond, problématique hydraulique, cette article est juste en revanche il ne fait pas preuve d'objectivité en citant deux entités qui n'ont pas les mêmes missions.
Dans un récent article de la Gazette de Nîmes et dans le Midi Libre du 4 Mai 2009 Mr Dominique Granier, Président de la chambre d'agriculture du Gard et Président de la "SAFER" s'insurge, à juste titre d'ailleurs de la disparition des meilleures terres agricoles au profit des fermes photovoltaïques et de l'urbanisation galopante par les promoteurs de tous poils.
A la vue de l'article du Midi Libre, on s'aperçoit que se sont les mêmes personnes ,
"amis" du maire de Nîmes, promoteurs immobiliers trouvant sans doute que la poire n'étant pas assez juteuse et par ces temps de disettes, s'attaquent désormais au business photovoltaïque avec ces horribles champs de panneaux solaires.
Méprisant la qualité de nos paysages qui font l'identité de notre région et de la qualité de vie de ceux qui vivent autours.
( Au fait je n'ai pas entrevue de projet de ce type en garrigues ?... La charte sûrement...)
Mais ou s'arrêteront -ils dans leur soif effrénée de fric !!
En quinze ans ce sont 7,5 pour cent de terres utiles agricoles qui ont fondue dans le département du Gard soit " le double de la moyenne nationale !!"
En France 60 000 hectares disparaissent sous le béton chaque année !!
A Nîmes, l'étalement urbain déraisonné, la construction de routes et d'autoroutes, de supermarché comme "CARRE SUD", de zones industrielles, et l'imperméabilisation des sols rendent le danger d'inondations par ruissellement plus prégnant,et condamnent à tout jamais des terres fertiles comme les 115 hectares du mas Lombard promises par le "fait du Prince"à une mort certaine.
Pense t'on du côté de nos élites (?) à nos enfants, petits enfants et autres générations futures ?
Comme mon ami Max Arnaud hélas aujourd'hui disparu le déclarait dans la presse trois jours avant son décès :
"A l'heure où le changement climatique s'emballe, l'eau devenant un produit rare ...les transports pesants sur les prix et polluants de plus en plus, les habitants des villes vont avoir besoin d'une agriculture de proximité.
Nos hommes politiques, les promoteurs , et les bobos de la garrigue s'apercevront, mais un peu tard, que l'on ne fait pas pousser des salades, du blé et des céréales sur les clapas et que le béton et l'argent ne sont pas comestibles."
Il serait grand temps et trés sage de garder ces terres cultivables pour nourrir les populations actuelle et celles a venir.
A une période où on nous met le Grenelle de l'environnement à toutes les sauces, où on nous bassine avec le développement durable, quelques petits égoïstes avides de profits immédiats mettent en péril un avenir déjà bien fragile et plus qu'incertain.
Les "Autorités" compétentes, "l'Etat" en l'occurrence, auront elles la lucidité et le courage de sévir devant des comportements aussi irresponsables ?
Tout récemment à l'occasion d'un colloque sur le rapprochement de l'agglo de Nîmes et celle d'Alès, je me souviens, participant à un des atelier proposés, de la phrase courroucée de Mr Dominique Granier à l'adresse de Mr Jacques Bécamel Maire de Caissargues...
"Tu te souviens jacques ? Là ou se situe l'actuelle chambre d"agriculture dans la plaine de la Vistrenque au mas de Vignolles c'est "là" que l'on trouvait les meilleurs rendements de blés à l'hectare !"
Voilà un aveu qui vaut un constat !! Qui plus est venant du Président de la chambre d'agriculture lui même !
Et c'est là ! Oh! comble de l'ironie que l'on a construit la nouvelle chambre d'agriculture !! De qui se moque t'on?
Cette révélation faite, un ange est passé ...dans l'assistance !
A ce propos je me souviens d'une interview dans la Gazette de Nîmes de 2007 (que j'ai archivé) où Madame Mireille Jourget "déléguée interservices de l'eau dans le Gard et Directrice Départementale de l'Agriculture et de la Forêt" déclarait :
"Je vois régulièrement passer des projets immobiliers de quelques centaines d'hectares. (suivez mon regard .)
Moi, çà me choque beaucoup ! C'est évidemment plus facile de construire en plaine, à la périphérie des villes, c'est trop facile la plaine ! Et en plus ... c'est inondable !!
Ces projets sont parfois soutenus par les maires parce qu'ils y voient l'occasion pour la commune de gagner de l'argent !
Et c'est vrai qu'il suffit parfois d'un rien pour que ces projets passent ...
Je ne me fais aucune illusion sur mon pouvoir.
Alors il faut une prise de conscience.
Pourquoi loger les gens sur des terres agricoles ?
Je serais moins choquée que l'habitat empiète sur des bois où des garrigues.
C'est le contraire du développement durable !
Les terres agricoles sont considérées comme des réservoirs pour l'urbanisation !
La politique actuelle c'est j'étale, j'étale : La ville grandit à la campagne.
Or il faut au contraire densifier l'habitat des centres villes.
Trés bientôt, on aura besoin des terres irriguées pour le blé, qui vas manquer, le riz, les légumes, le lait et même la vigne.
Alors !! préservons l'existant ! "'
Sages paroles...Suivis de quels effets ??
( A ce sujet je signale à toutes fins utiles qu'il y a quelques décennies seulement dans la plaine du mas Lombard on y cultivait encore le riz ! Pour démontrer si besoin en était encore du caractère inondable de la zone et qu'actuellement s'y trouve une exploitation maraichère et agricole "BIO", celle de Mdme et Mr Reboul)
Suite à cette interview, j'ai demandé plusieurs fois rendez vous à Madame Jourget, sans résultat, j'ai même eut l'occasion et le plaisir de lui être présenté lors d'un colloque en Avignon sur le "CTC" Rhône aval en Octobre 2007 et j'ai profité de cette occasion pour lui réitérer ma demande d'audience de vive voix...
J'attend encore...
"Aujourd'hui peut être ...peut être demain... "
Aurais je l'outrecuidance de poser les questions qui fachent ?
Aurais je à ce point mauvais esprit?
Allons je n'ose même y croire !
Même ceux qui me connaissent n'oseraient même pas y penser un seul instant !
Monsieur Dominique Granier rève de ceintures vertes autour des villes ?
Je lui propose le premier maillon aux portes de Nîmes !
Au mas Lombard !!
Allez ! Madame, Monsieur mettez donc vos paroles et vos bonnes intentions en accord avec vos actes afin que celles ci ne restent pas des voeux pieux.
Vous avez un certain pouvoir pour ne pas dire un pouvoir certain !
C'et le moment où jamais de vous en servir !
Avec tout mon respect .
Mr Villanueva Serge
Président de l'association "ASIST"
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